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il y a 6 ans
Plusieurs voyages m'ont tenu loin de la maison. Cela ne m'empêche pas de continuer à vivre mes envies et ma passion pour les dessous féminins. Nous sommes début juin, j'ai devant moi quelques jours de vacances et ce jeudi matin, alors que je prends mon petit déjeuner, le téléphone sonne, c'est Aline.
- Allô, Marc, tu es de retour, justement je pensais à toi, j'ai besoin de tes services pour un dossier très urgent pourrais-tu le voir aujourd'hui ?
Étant libre, je lui propose de passer à son bureau elle me dit alors.
- J'ai des réunions toute la journée et ne serai pas disponible avant ce soir, mais je vais te faire porter celui-ci par une de mes collaboratrices, tu pourras le regarder et je passerai chez toi en rentrant.
Je lui dis qu'il n'y avait pas de problème et que je l'examinerai rapidement. Elle ne peut s'empêcher de me dire :
- C'était bien notre dernière sortie non ? Que portes-tu en ce moment ?
Je lui réponds que j'ai un combiné gaine, des bas avec les chaussures à talons et une robe longue fourreau en satin, à manches longues, le tout de couleur noire. Elle réplique :
- Tu n'as pas changé d'avis, tu es toujours d'accord pour accepter mes directives ?
Je lui réponds que oui, ma passion pour les dessous et les jeux de bondage est intacte.
- Parfait, alors tu vas rester comme ça, et tu recevras ma collaboratrice ainsi habillé.
Je réponds que je ne la connais pas et que cela me gène. Elle réplique aussitôt :
- Alors tu mettras en plus un bâillon anneau et la cagoule, fermée avec un cadenas jaune, tu te rappelles que j'ai conservé les clés de tous les cadenas qui ont un point jaune ? Par contre, laisse tous les accessoires dans le sac. Comme cela, elle ne verra pas ta tête, et tu ne pourras pas la draguer. Peut-être lui donnerais-je, en plus, quelques directives à appliquer... Tu verras bien.
Je lui dit que j'allais lui obéir.
- Tiens, tu vas lui préparer un café, tu la recevras avec ton petit tablier de soubrette et tu lui serviras le café au salon, je vais lui donner mon appareil photo, comme ça elle pourra garder les preuves, n'oublies pas d'ouvrir la porte quand elle arrivera.
Finalement je suis assez excité par la tournure que prennent les évènements, je n'attends personne aujourd'hui. M'ayant avisé qu'elle serait là vers 10h30, je finis de déjeuner tranquillement et après un passage à la salle de bains, me dirige vers ma chambre, sortant avec plaisir de la commode le sac rouge, la cagoule de cuir et le bâillon anneau. J'ajuste celle-ci (je ne l'avais pas utilisée depuis notre dernière expérience) la lace, ferme la glissière métallique qui part du haut du crane, engage l'anneau du fermoir dans le collier, serre celui-ci fermant l'ensemble, et termine en posant le cadenas (dont je n'ai pas les clés). Prenant le bâillon, je le positionne, passe les s a n g les dans les brides de la cagoule, le fixe derrière ma tête et termine en posant un autre cadenas bloquant définitivement celui-ci. Me voilà de nouveau dépendant d'Aline.
A 10h20, une voiture s'arrête devant le portail au bout de l'allée de la maison, discrètement je regarde, il en descend une jeune femme très belle, aux cheveux blonds coupés courts, j'en déduis que c'est elle la nouvelle collaboratrice d'Aline. Elle est vêtue d'un tailleur gris, ses jambes sont gainées de bas fumés et chaussées d'escarpins à talons. Je me dépêche de me mettre dans l'entrée, vérifiant ma tenue. Elle remonte l'allée, hésite un moment, puis avance vers la maison. Elle me voit, s'arrête, et prends le temps de me regarder.
- Bonjour, vous êtes Marc, je m'appelle Mireille et je suis la nouvelle collaboratrice de Madame Julien. Ou puis-je poser ces papiers ?
Je lui indique la table derrière moi.
- Ne bougez pas, je dois faire quelques photos de vous pour Madame Julien.
Elle pose le dossier et prend deux photos de moi.
- Bien, maintenant vous devez aller chercher le reste du dossier dans le coffre de ma voiture.
Je la regarde surpris, la voiture est garée devant mon portail, bien que distant de la route principale d'une centaine de mètres, on peut me voir, et me reconnaître, surtout si ce sont des gens du village !
- Allez, ce sont les ordres de Mme Julien, je dois faire des photos de vous, montrant votre action, allez-y.
Je n'ai pas le choix, elle me tend les clés de la voiture et me voila parti, elle prend plusieurs photos. Je me dépêche, autant que me permet l'étroitesse de ma robe, craignant à tout moment de voir une voiture. Heureusement qu'à cette heure-ci, c'est plutôt calme. Je reviens vers la maison, le bruit du moteur d'une voiture qui arrive me donne quelques frayeurs.
- C'est bien dit Mireille, posez-le avec les papiers, vous avez du café prêt m'a-t-on dit, je vais m'asseoir sur le canapé.
Elle s'installe confortablement, croise ses longues jambes. Je vais chercher le plateau avec le café et quelques gâteaux secs, le pose sur la petite table devant elle.
- Mettez-vous à genoux devant moi et faites le service, je pense que Mme Julien appréciera la photo ainsi.
Je fais ce qui m'est demandé et l'ayant servie, je reste sans bouger, le buste droit, les mains dans le dos, attendant qu'elle le boive, ce qui prends quelques minutes. Ensuite, elle se penche vers son sac, attr a p e une enveloppe, ce qui me permet de voir qu'elle porte des bas, apercevant un bref instant une jarretelle rouge.
- Je n'avais pas le droit de l'ouvrir avant d'être ici, mais je dois vous lire les instructions de Mme Julien à haute voix et les appliquer à la lettre.
Elle ouvre l'enveloppe en sort deux autres plus petites, sur une est écrit "à ouvrir en premier" sur l'autre "attendre". Elle ouvre la première et commence à lire à haute voix.
- Bien, vous êtes prêts tous deux, puisque Mireille lit, Marc, s'il ne l'est pas doit être à genoux, mains dans le dos. Mireille, tu te mets devant lui et tu vas enlever ton tailleur, ensuite tu continues à lire.
Sans être surprise, elle pose la lettre, déboutonne sa veste, l'enlève apparaissant en soutien gorge rouge, puis baisse la fermeture de la jupe, la quitte, et pose l'ensemble sur le canapé. Mireille revient alors vers moi vêtue de ses dessous, en string, p-j, et soutien gorge le tout assorti d'un rouge intense. Reprenant la lettre, elle continue sa lecture.
- Voila, vous faites ainsi connaissance, Marc peut te voir, et t'admirer, mais interdiction pour lui de te toucher. Tu vas le préparer pour la journée, il doit te conduire vers son bureau, fermes tout d'abord la porte d'entrée et pose les clés sur la tablette à gauche de la porte.
Pendant que Mireille s'exécute, je prends les affaires et me dirige vers mon bureau. Elle me suit, je pose les dossiers et elle reprend la lecture.
- Bon, maintenant, Mireille, tu prends la ceinture de cuir dans le sac et tu équipes Marc, en attachant aussi le bout d'une chaîne, fermes le tout avec un cadenas jaune ensuite, tu vois le radiateur fixé au mur derrière son bureau ? tu vas y attacher l'autre extrémité en laissant la longueur nécessaire pour qu'il puisse s'asseoir et accéder à la photocopieuse.
Mireille, consciencieusement exécute l'ordre, puis reprend la lecture.
- Prends une photo de Marc dans cette position, ensuite tu lui donne l'appareil photo et tu vas te mettre face à lui de l'autre coté du bureau, sur le canapé devant la fenêtre, quand tu y est, tu vides le sac, prends l'autre ceinture que tu mets, comme pour Marc, tu attaches l'autre extrémité au radiateur sous la fenêtre, avec environ deux mètres de chaîne libre. Tu utilises les cadenas rouges, ils sont ouverts, les clés sont dans la petite pochette rouge. Surtout laisse les clés dans la pochette fermée.
Mireille s'exécute et se retrouve elle aussi enchaînée rapidement. Elle reprend la lettre et continue la lecture à haute voix.
- Maintenant, tu vas t'asseoir, et lire le contenu de la deuxième enveloppe.
Mireille s'assied et déplie l'autre lettre.
- Demandes à Marc de te photographier, ensuite tu vas t'équiper de la cagoule de cuir avec le bâillon, bien la fermer, toujours avec les cadenas rouges, ensuite tu prendras les quatre bracelets reliés par les chaînes, tu mettras une paire à tes chevilles avec des cadenas rouges, et avant de mettre l'autre paire à tes poignets, mains dans le dos, tu fixera le bandeau sur la cagoule. Comme cela tu seras dans le noir. Ensuite, tu attendras mon coup de téléphone, le bureau est équipé d'un répondeur, je te donnerai les instructions pour la suite, tu te libéreras et viendras me retrouver à 15h précises. N'oublies pas. Marc prendra bien sur quelques photos au cours de tes actions. Allez, exécution.
Mireille commence alors à exécuter les ordres et dix minutes plus tard ,elle est couchée sur le canapé, dans le noir, attendant le coup de téléphone d'Aline. Je ne peux m'empêcher de la regarder, c'est un petit avantage, il est 11h15 et je commence alors à travailler, de toute façon, je n'ai pas le choix !!!
Plongé dans le dossier d'Aline, je ne vois pas le temps passer, Mireille complètement aveuglée, s'est endormie et je la regarde de temps en temps, elle est magnifique d'autant plus qu'elle est alanguie sur le canapé et me fait profiter de ses formes, mises en valeur par ses dessous affriolants.
Le téléphone sonne tout à coup, réveillant Mireille en sursaut, je regarde la pendule, il est 13h00.
- J'espère que vous êtes tous deux dans les positions que j'imagine ? Bien, Mireille je t'autorise à te détacher, je te donne 3/4h à partir de maintenant pour venir me rejoindre, dépêches-toi.
Elle raccroche aussitôt. Je vois Mireille chercher à tâtons la pochette contenant les clés, puis essayer de trouver la bonne clé. Au bout d'un long moment, elle n'y arrive pas, elle s'arrête puis reprend méthodiquement chaque clé. Le temps passe, elle ne parviens pas à se détacher. Après plusieurs essais, elle comprend que les bonnes clés ne sont pas là. Deux solutions, soit Aline s'est trompée ou soit, elle l'a fait exprès!!! J'aurais tendance à pencher pour la deuxième solution, la connaissant.
Mireille s'agite encore un moment, grogne dans son bâillon, puis finalement se recouche sur le canapé, fataliste. Que va-t-il se passer maintenant ?
Tout à coup je réalise que c'est le jour ou la femme de ménage vient, pris de panique, je réalise qu'elle va nous trouver dans une drôle de situation, j'en ai des sueurs froides, tout le village va être au courant de mes penchants pervers et de plus je ne suis pas seul. Elle arrive vers 15h d'habitude, il reste 1h30 avant son arrivée, je me lève et dans la limite de mes mouvements, cherche quelque chose pour m'aider à me libérer. Je fouille dans les tiroirs du bureau, mais peine perdue, il n'y a rien, les cadenas sont solides. Après une demi-heure d'efforts, je me résigne à cette situation, envisageant les conséquences de cette découverte.
Je ne peux m'empêcher de regarder fréquemment la pendule. Mireille de son coté ne bouges pas, sûrement résignée elle aussi.
A 14h50, le téléphone sonne, c'est Aline une nouvelle fois.
- Mireille, tu es très en retard, aurais-tu eu un problème... de clés ? Sûrement, j'ai par inadvertance "oublié" de laisser les bonnes clés !!! Tant pis pour toi, tu vas tenir compagnie à Marc toute la journée, puisque je ne suis pas libre avant ce soir. Mais je suis bête, vous êtes bâillonnés tous les deux !!! Dommage, on m'attends, passez une bonne après-midi. Au fait, Marc, j'ai avisé ta femme de ménage, elle ne viendra pas aujourd'hui...
Elle raccroche aussitôt, je pousse un ouf de soulagement, elle m'a, pendant plus d'une heures fait craindre le pire. Mireille, qui entre temps s'est assise sur le canapé semble de son coté avoir accepté la situation.
Nous passons l'après-midi comme cela, il fait nuit et nous sommes dans le noir, la dernière fois que j'ai pu voir l'heure, il était 20h, je n'ose pas allumer, cela laisse penser qu'il n'y a personne à la maison. Mireille allongée s'est assoupie, jusqu'à quand Aline va-t-elle nous laisser ainsi ? Enfin une voiture s'arrête au portail, des pas sur le gravillon et j'entends la porte s'ouvrir, ce ne peut-être qu'Aline qui arrive.
Effectivement, la porte s'ouvre et la lumière jaillit.
- Oh, mais vous êtes dans le noir, et sages à ce que je vois.
Je regarde la pendule, il est 21h00, cela fait dix heures que nous sommes attachés. Aline s'approche du bureau et prends l'appareil photo.
- Voyons voir si tout à été respecté à la lettre.
Elle fait défiler les photos en ponctuant de temps en temps par des "bien, bien". Elle s'approche de Mireille, lui enlève le bandeau des yeux, détache sa chaîne du mur, puis ôte celle des chevilles et la fait se lever. Elle la tire avec la chaîne de sa ceinture et l'amène vers moi.
- Alors, vous avez fait connaissance ? Qu'en penses-tu Marc, elle est belle, non ? Tu as compris que comme toi elle adore les jeux de bondage, cela promet de belles rencontres. Tu as de quoi manger sûrement, Mireille va nous préparer quelque chose, moi j'ai envie de prendre l'apéritif, tu vas me le servir pendant ce temps je vais examiner tes propositions pour mon dossier.
Elle me libère à mon tour de la chaîne ce qui me permet de retrouver ma liberté, mais je garde tout le reste. Mireille va à la cuisine alors que je me dirige vers le bar. Je reviens portant un plateau avec bouteilles, verre, glace et amuses gueule pour Aline que je pose sur la table basse, elle me dit :
- Viens ici et mets-toi bien droit, ne bouges pas, jambes légèrement écartées.
J'obéis aussitôt, elle se lève du canapé, vient vers moi, prenant la poche d'accessoires. Elle commence alors par mes chevilles qu'elle équipe de bracelets et poursuit par mes poignets. Ils sont tous fermés par de petits cadenas. Lorsque Mireille revient, elle l'équipe elle aussi de bracelets, enfin elle dit.
- Voilà, vous êtes pareils tous les deux, mettez-vous dos à dos, je vais vous photographier.
Avec quelques cadenas, elle relie nos mains et nos chevilles deux à deux, puis satisfaite elle prend plusieurs photos.
- C'est très bien, le temps passe vite, il est 22h30, je vais vous laisser un peu et aller manger, ensuite j'aviserai.
Elle part vers la cuisine ou le bruit de la radio, qu'elle a allumée, couvre ses mouvements. Lorsqu'elle revient, elle décide de nous faire manger, commence par nous enlever les baillons anneaux et ensuite nous fait prendre de petits sandwiches préparés par elle, et boire. Elle nous laisse alors un peu de répit, puis nous bâillonne à nouveau. Les bandeaux viennent compléter la fermeture de la cagoule, Aline n'oublie pas de passer les s a n g les dans les passants latéraux de la cagoule, ce qui empêche tout glissement, et bien sur toute possibilité de les ôter et pose un cadenas.
Elle se plaque contre moi et ses mains me caressent les fesses, voyant que je ne suis pas insensible à ses gestes, elle entreprend de pincer mes tétons, puis lâchant l'un, sa main droite, passant sous ma robe, saisit ma verge lui donnant de la vigueur.
- Que vais-je faire de vous cette nuit ? J'ai une idée, je vais déployer le canapé et vous coucher dessus.
Elle me lâche alors et je l'entend ouvrir le canapé, celui-ci contient un matelas. Elle nous détache l'un de l'autre.
- Parfait, je vais vous coucher dessus, je commence par Toi Mireille.
J'entends le basculement de Mireille, soutenu par Aline.
- Allez, roule, voilà c'est parfait. A toi Marc.
Elle me pousse alors en arrière, ses mains accompagnant le mouvement, je bascule sur le canapé.
- Bouges-toi un peu, pour te mettre bien droit.
Je m'eff o r c e de suivre ses mouvement, puis elle m'attache les poignets dans le dos.
- Encore quelques photos, vous êtes bien tous les deux, ainsi cote à cote, mais il ne faut pas que vous tombiez, je vais y remédier.
Je sens Aline attacher une corde à l'anneau du dessus de ma cagoule, apparemment, elle l'attache au dessus de ma tête, sûrement à la structure du canapé, quelques instants plus tard, ce sont mes pieds qui sont concernés, attachés de la même façon. Aline tire ensuite sur chaque corde en riant.
- Essayez de vous soulever un peu pour voir, toi d'abord Marc.
Je ne peux bouger beaucoup, mais je sens les cordes ayant une certaine élasticité.
- A toi, Mireille essaye de bouger aussi.
A ce moment là, je ressent les mouvements des cordes, je comprends alors qu'Alice nous a reliés l'un à l'autre, nos cagoules ensemble ainsi que nos pieds.
- Vous avez compris que vous êtes attachés l'un à l'autre, mais les cordes passent entre les ferrures du lit, vous ne pouvez donc pas vous toucher vu la largeur du lit. Bon, eh bien, je vais me coucher moi aussi.
J'entends Aline monter à l'étage, puis faire couler l'eau dans la salle de bains. Un moment plus tard près de nous.
- Finalement le canapé est large, je vais me coucher entre vous deux, ce sera très bien.
Elle m'enjambe, s'appuyant sur ma poitrine et se couche. Je la sens contre moi, effectivement, il y a de la place pour trois !
Je n'arrive pas à m'endormir, à coté de moi, rien ne bouge, dorment-elles ? A cet instant, je sens la main d'Alice se poser sur moi, elle caresse ma jambe, ses doigts glissant sur le satin de ma robe, puis remonte sur ma verge. Celle-ci se tend aussitôt, prise en main par ma voisine. Aline ne bouge pas, sa main seule s'active. Si Mireille est réveillée, elle ne peut se douter de ce qui se passe à coté d'elle !!! A moins que connaissant la malice d'Aline son autre main soit partie en exploration de l'autre côté ? Il m'est impossible de le savoir.
Aline serait-elle endormie dans cette position ? Elle ne bouge plus, et moi par contre le fait d'être dans cette situation m'empêche de dormir, la main qui me tient a des contractions par moment, me conforte dans l'idée qu'Aline dort !!!
Je ne la rejoint dans son sommeil que longtemps après.
Vendredi matin...
Ce qui me réveille est un traction sur la corde de ma cagoule, cela veut dire que Mireille est réveillée, et cherche à bouger. La voix d'Aline se fait entendre.
- Alors vous êtes réveillés tous les deux, il est 7h et il faut aller au travail, Mireille, je te détache, tu te prépares.
Je sens Aline s'activer et Mireille, se lever du lit, mais elle ne me détache pas, je bouge un peu sur le lit, les cordes liant ma cagoule et mes pieds sont libres. Aline est près de moi, sa mains m'attr a p e , me caresse à nouveau.
- Mon petit Marc, toujours en forme à ce que je vois, tu es en congés, j'ai bien envie de te laisser comme ça encore quelques heures... Qu'en penses-tu? Tu ne dis rien? Le problème est que ta femme de ménage va venir, j'ai une idée.
Mon bâillon anneau occulte toute manifestation de ma part, cela l'amuse semble-t-il. J'entends des pas dans le salon, Mireille doit être revenue.
- Mireille, Marc est puni, on va le laisser attaché, mais il faut le sortir de là, on va le mettre au placard, il va en profiter comme ça un maximum. Tu aimes être attaché, tu vas être servi.
Le placard occupe un pan de mur, il y a des étagères d'un coté, mais de l'autre, c'est vide, le fond est équipé de barres verticales métalliques.
- Aides-moi on va le faire se lever et l'amener jusqu'au placard.
Ainsi fut fait, quelques instants plus tard, je suis installé dans le placard, les filles m'ont attaché aux barres, je suis doublement immobilisé.
- Très bien dit Aline, on va fermer la porte à clé, sa femme de ménage arrive vers 9h00. Tu as compris, Marc ce que cela veut dire, profites bien de la situation...
Sans autre mot, elles me laissent la et ferment la porte à clé. Me voilà prisonnier, impossible de bouger, même la cagoule a été attachée, par son anneau en haut !!!
Elles sont parties depuis longtemps, lorsque j'entends la porte d'entrée s'ouvrir, c'est la femme de ménage, elle commence son travail, je l'entends aller et venir dans la maison, elle a mis la radio, ce qui me permet d'avoir un repère dans le temps.
Alors que la radio diffuse les informations de midi, la femme de ménage s'arrête, je présume qu'elle va faire sa pause repas. Je l'entends s'activer dans la cuisine, puis elle revient vers le séjour, j'en déduit qu'elle va manger ici. Elle allume la télé. Anna, ma femme de ménage à environ trente-cinq ans, c'est une belle fille, lorsque je l'ai engagée, après avoir passé une petite annonce il y a trois mois, j'avoue avoir fait mon choix sur elle car c'était une brune typée, mince et que ce jour là elle portait un ensemble noir. Elle dégageait une personnalité affirmée, ce qui m'a plu aussitôt.
Mais les choses en étaient restées la jusqu'à ce jour, il est vrai qu'elle s'occupe de ma maison pendant mes absences en fait, je ne l'ai rencontrée que deux fois depuis qu'elle vient ici. Il me vient tout à coup une pensée : comment Aline a-t-elle pu la contacter pour différer sa venue hier alors qu'elle ne la connaît pas ?
Anna qui a fini son repas, reprend son activité, elle est proche du placard, heureusement qu'il est fermé, elle ne se doute pas de ce qu'il contient.
Elle continue un moment, je sursaute tout à coup, le placard près du mien est ouvert, que cherches-t-elle ? Elle fouille à l'intérieur quelques instants, je retiens ma respiration, même si ma réaction est idiote, la cloison fait écran entre les deux parties. Tout à coup, la clé est mise dans la serrure du placard, puis la porte s'ouvre en grand, je panique, Anna est la, soudain devant moi...
- Bonjour monsieur Marc, vous êtes bien attaché à ce que je vois, madame Aline m'a laissé un mot vous concernant, je dois m'occuper de vous cet après-midi. Voyons, par quoi dois-je commencer.
Comment Anna est-elle arrivée ici ? Qu'a fait Aline pour cela, je suis dans une drôle de situation, complètement abasourdi par ce qui se passe. Anna parle à nouveau.
- D'après le mot de madame Aline, vous êtes ici depuis ce matin... Vous devez avoir une sacrée envie de vous soulager... Je vais mettre mes gants et m'occuper de ça.
Ses mains viennent au contact de mon ventre, soulèvent ma robe, et s'infiltrent, m'extrayant totalement.
- Oui, effectivement, il y a urgence semble-t-il.
Je sens le contact d'un objet dans lequel elle introduit ma verge.
- Allez, soulagez-vous dans ce récipient. Cela ira mieux après.
Je me laisse aller, effectivement depuis un moment je commençais à penser sans arrêt à cela, craignant me soulager sans pouvoir me retenir. Je sens un linge froid sur mes parties et le contact des gants de plastique, Anna minutieusement me nettoie, agissant lentement, ce qui me redonne une certaine vigueur qui a l'air de la satisfaire.
- Mais c'est bien joli tout ça, je ne savais pas que mon patron avait des goûts pour ces jeux, je comprends pourquoi madame Aline m'a fait postuler pour votre petite annonce sur le journal maintenant.
Elle me laisse, puis le bruit de l'aspirateur se fait entendre, elle a repris ses activités. Elle revient un moment plus tard.
- Vous devez avoir soif peut-être, je n'ai pas la clé du cadenas du bâillon, je vais trouver une solution.
Cinq minutes environ plus tard :
- Allez, on y va, j'ai trouvé un entonnoir, je vais l'enfiler dans l'anneau du bâillon, rassurez-vous je l'ai bien lavé avant.
Le tube entre dans ma bouche doucement. Elle verse l'eau.
- Buvez doucement, vous n'allez pas vous étouffer! J'ai l'habitude des vilains garnements comme vous, cela faisait longtemps que je n'en avais pas rencontré, le hasard m'a fait croiser Madame Aline, finalement je ne suis pas déçue.
Elle me redonne à boire, puis s'exprime à nouveau.
- Voyons la suite de ses ordres, je vais devoir vous changer de place et vous mettre ailleurs. Ce sont ses directives, il faut que vous soyez en place pour son arrivée.
Elle commence par me détacher, me fait sortir du placard et avancer de quelques pas, puis, après m'avoir enlevé ma robe, me prend par le bras et m'entraîne. Elle me tire à nouveau, cette fois au bruit je comprends qu'elle ouvre la porte fenêtre donnant sur la terrasse, me demandant ce qu'elle va faire de moi.
Nous continuons sur la terrasse, puis elle me fait descendre l'escalier du jardin, enfin elle me lâche.
- Ne bougez pas.
Me prenant les poignets ,elle ramène les bras sur le devant. Un "clic" et mes poignets sont attachés à une chaîne. C'est alors que le palan électrique se met en action et mes bras sont petit à petit tirés vers le haut, celui-ci s'arrête lorsque mes bras sont bien au dessus de ma tête. Nous sommes donc dans le garage, ou se trouve le palan.
Elle me déchausse alors ce qui a pour effet de ne plus me laisser de marge, mes bras sont bien tendus.
- Je vais maintenant vous préparer comme le souhaite Madame Aline.
Anna commence alors à m'enlever le combiné et mes bas, me mettant nu, puis elle me met autour du corps ce que je perçois comme un corset de cuir, elle le positionne, puis commence le laçage. Celui-ci dure un long moment, Anna prend le temps de tendre chaque lacet, puis de s'assurer qu'il ne se détend pas. Celui-ci m'enveloppe du dessous les bras au bassin.
- Voila qui est bien, enfilons les bas maintenant.
Soulevant ma jambe, elle m'enfile un premier bas, celui-ci remonte presque jusqu'à l'aine. Elle attache alors les jarretelles, puis la deuxième est parée à son tour. Anna me renfile alors les escarpins qu'elle attache avec les brides.
- Vous voila bien paré, cachons ce qui dépasse maintenant.
Elle m'enfile ce que je crois être un slip de cuir, équipé de lacets latéraux qui permettent de l'ajuster. Ma verge est prise et comprimée dans la gangue de cuir. Je ressens la pression d'autant plus que cela m'excite et contraint ma verge. Anna m'ajuste alors les bracelets aux chevilles et nouveau cadenas relie ceux-ci, m'obligeant à rester bien droit..
- Bien, c'est ce que souhaite Madame Aline, je vais vous laisser, c'est l'heure de partir pour moi. Elle s'occupera de vous quand elle rentrera du travail, je vais lui envoyer un sms, comme elle me l'a demandé lorsque j'aurai fini de vous installer.
Anna me laisse, je l'entends encore un moment dans la maison, puis elle revient au garage.
- Voilà, j'ai terminé ma journée, il est 16h, madame Aline m'a dit de bien fermer, au revoir monsieur.
Le bruit de la voiture me confirme son départ, me voilà dans une nouvelle situation, dépendante de ma maîtresse.
Une voiture s'arrête, je commence à avoir des crampes aux bras, j'ai l'impression que cela fait longtemps qu'Anna est partie. Des pas, sur le gravillon de l'allée, me font comprendre que quelqu'un arrive, un moment plus tard ,la porte du garage s'ouvre, tout à coup une main se pose sur moi, fais le tour de ma taille, tire sur mes jarretelles.
- Anna a bien travaillé dit Aline, il es beau comme ça, n'est-ce pas Mireille ? Constates par toi même, vérifie tous les laçages.
Les mains de Mireille entreprennent alors de tirer sur les lacets, le corset étant chaud sur moi, elle retend celui-ci, puis elle se concentre sur les liens du slip.
- Je vais t'aider, dit Aline, tu pourras mieux le serrer.
Elle pose alors ses mains sur moi et plaque le cuir fortement. Mireille refait alors les nœuds de part et d'autre me contraignant au maximum.
- Tu vois dit Aline, c'est beaucoup mieux comme ça, agaces-le un peu, il verra comme ça qu'il est bien ajusté.
Mireille se colle alors contre moi, dans mon dos, ses mains entrent en action et s'eff o r c e nt de m'exciter. Je sens ma verge gonfler à la limite de ses possibilités.
- Ne bouges pas, Mireille, aides-moi.
Mes chevilles sont libérées du cadenas, le palan est manœuvré, mes poignets sont détachés du crochet, mais toujours reliés par un cadenas.
- Mireille, attaches lui les poignets contre les cuisses.
Mes poignets sont détachés, je laisse mes bras retomber le long du corps, aussitôt un lien, placé par Mireille, fixe les bracelets contre les cuisses. Elle passe la corde plusieurs fois entre mes cuisses, ce qui m'excite, ramené à la réalité rapidement par la gaine de cuir qui me contraint.
- Attaches-lui aussi les bras, ce sera mieux.
Aussitôt dit, aussitôt fait, mes bras sont maintenant parfaitement collés au corps.
- Bon et maintenant allons prendre les affaires, nous allons partir rapidement.
J'entends alors la porte du garage coulisser, puis le bruit de la voiture qui s'approche. Aline dit :
- Allez, tu vas monter dans la voiture, Mireille va t'aider.
Qu'a-t-elle décidé, ou veux-t-elle me conduire ? Je n'en sais rien, une main me prend par le bras et me fait avancer, je dois ensuite monter dans la voiture, ce qui n'est pas facile, je m'assied, je la sens contre moi, elle m'attache la ceinture, puis s'occupe de mes jambes, le cadenas reprends sa place entre les bracelets des chevilles et ensuite, avec une corde m'attache les genoux bien serrés.
- Comme ça, dit Aline, il ne bougera pas pendant le trajet, je vais avancer la voiture, tu fermeras le garage, nous partons.
La voiture roule depuis un moment, les filles ne parlent pas, ce n'est qu'à cet instant qu'Aline se manifeste.
- On s'arrête, nous allons faire le plein, nous avons encore une heure de route avant d'arriver au chalet.
Je comprends alors que nous sommes partis pour la montagne et la destination est le chalet d'Aline... Elle a donc prévue d'y passer le week-end avec Mireille et moi. La voiture arrêtée, les filles descendent, j'entends Mireille dire à quelqu'un :
- Faites le plein, nous allons faire quelques courses en attendant.
Heureusement que les vitres de sa voiture sont teintées, car sinon le pompiste me verrait dans ma drôle de position!!! Un moment plus tard, le hayon arrière est ouvert, des paquets sont chargés. Nous repartons pour un trajet encore long. Enfin la voiture s'arrête, l'ouverture du garage est enclenchée et quelques secondes plus tard le moteur est coupé, nous sommes arrivés.
Le déchargement commence et ce n'est que plus tard que je suis extrait à mon tour. Bien que nous soyons en juin, je sens la fraicheur, ma tenue plus que légère n'est pas adaptée à la montagne, je suis libéré des liens des bras et des jambes et conduit au chalet.
- Je t'autorise à profiter de la salle de bains, ensuite tu nous rejoindra au salon. Je vais t'enlever le bâillon et le bandeau, je vais chercher les clés, commence à te déshabiller en attendant.
Je me déchausse, commence à retirer le corset, dans le noir, ce n'est pas facile, je finis par me déshabiller entièrement. C'est à ce moment là qu'Aline revient.
- Baisse-toi, je vais t'enlever les cadenas.
Elle m'ôte le bâillon, puis le bandeau, puis essaye d'enlever le cadenas du collier. Elle s'y reprend plusieurs fois et finit par me dire:
- Je n'ai pas la bonne clé, elle est restée à la maison, Tu vas devoir garder la cagoule en permanence. Tant pis pour toi, de toute façon tu n'as pas le choix.
Elle pose des affaires sur la chaise et repart. Nu, je passe directement sous la douche. J'apprécie longuement celle-ci, d'autant plus que je ne sais pas ce que je vais devenir entre ses mains, cela commence bien avec la cagoule !!!
Je sors et m'essuie, puis regarde sur la chaise, il y a mes chaussures, une paire de bas à couture, un porte-jarretelles et un string noir. C'est tout ce que j'ai à me mettre. J'entends la voix d'Aline qui m'interpelle.
- Alors tu te dépêches ?
Je n'ai pas le choix, enfile mes affaires et descend les rejoindre. Aline est sur un fauteuil devant la cheminée, en train de lire, Mireille est debout à ses cotés, elle porte un catsuit et une mini robe rouge, ses poignets et chevilles sont dotés de bracelets de cuir fermés de cadenas, une cagoule comme la mienne couvre sa tête et un collier assorti orne son cou. Un jeu de chainettes relie tous les bracelets. Seuls ses yeux et sa bouche sont visibles. Un maquillage rouge assorti à sa tenue les mets en valeur. Elle est immobile, comme une statue, ses mains tiennent une lampe permettant à Aline de lire. Je me présente devant elles, et attends. Ce n'est qu'une dizaine de minutes plus tard qu'Aline lève les yeux sur moi.
- Tournes-toi. Les coutures ne sont pas droites, prends le reste de ta tenue sur la chaise et va te préparer.
J'obéis aussitôt, prends les affaires et regagne la chambre. Après avoir repositionné mes bas ,j'enfile ma tenue, robe courte en latex et tablier de devant. J'ajuste l'ensemble en faisant attention à ce que tout soit parfait et redescend me présenter devant Aline. Comme tout à l'heure je dois attendre plusieurs minutes avant qu'elle ne me regarde. Mireille n'a pas bougé, toujours immobile à ses cotés. Elle se lève alors et m'équipe de bracelets et d'un collier, le tout relié par des chainettes, comme Mireille
- C'est mieux, tu vas préparer la table, et faire le service du repas, mais auparavant tu vas me servir l'apéritif.
Je me dirige alors vers le bar et commence alors mon service de soirée. Je porte le plateau avec verre et le nécessaire, le pose sur la table de salon. Aline trouve alors que le plateau est trop loin d'elle et me fait mettre à quatre pattes devant le fauteuil, puis prend le plateau et le pose sur mon dos.
- Ne bouges plus, c'est parfait.
Elle se sert alors et reprend sa lecture, prenant de temps en temps un toast. Je reste immobile, en face de moi se trouve la pendule de salon, l'apéritif va durer une demi heure, temps que je vais passer transformé en table de salon. Aline décide alors de passer à table, elle fait changer Mireille de position, et la fait éclairer la table. Je fais le service du repas, me tenant parfaitement immobile entre chaque plat, enfin quand elle a terminé, elle dit
- A vous de manger maintenant, allez à la cuisine, mais avant débarrassez et rangez tout. Fais-lui comprendre à Mireille, car elle a des bouchons dans les oreilles, et n'entend presque rien !!!
Une fois terminé, nous nous y rendons, pendant qu'Aline allume la télévision. Elle nous rejoint, et nous fait asseoir sur les chaises. Elle passe derrière nous à tour de rôle et nous attache rapidement par la taille, avec des s a n g les, et dit:
- Je vous laisse demi heure, profitez-en, ne buvez pas trop...
Tant bien que mal, les gestes réduits par les chainettes, nous commençons à manger. Pour atteindre les choses, il me faut parfois me lever, entrainant la chaise avec moi, surtout pour ranger la cuisine et faire la vaisselle.
Aline nous regarde en souriant.
- Bien, vous avez fini, je vais vous détacher des chaises.
Elle nous reconduit ensuite au salon, nous fait mettre à quatre pattes devant le fauteuil, face à face.
- Approchez-vous l'un de l'autre et levez la tête.
Elle fait des signes à Mireille pour qu'elle comprenne, nous avançons l'un vers l'autre et arrivons presque à nous toucher, c'est alors qu'elle attr a p e les deux chainettes pendant des colliers, les rejoint et y fixe un cadenas, faisant par la même occasion toucher nos visages.
- Bien, ne bougez plus maintenant, je vais regarder mon film.
Elle s'installe alors sur le fauteuil, allonge ses jambes, les posant sur nos dos, nous transformant en pouf de salon, puis déroule une couverture qu'elle jette sur ses jambes, couvrant par la même occasion nos têtes. Elle monte le son du poste et bien installée, se concentre sur le film.
Quant à nous deux, nous ne bougeons pas pendant un moment, nos respirations sont confondues. Cependant imperceptiblement, je sens Mireille bouger sa tête, et l'incliner pour se mettre bien face à moi. Sa bouche se rapproche alors de la mienne, et malgré les cagoules, se colle contre mes lèvres, sa langue pénètre en moi et s'active en un baiser interminable. Je sens monter en moi une douce chaleur et dans le bas de mon corps une turgescence envahit le string !!!
C'est à ce moment là qu'Alice retire ses jambes, et se lève sans toutefois ôter la couverture. Nous restons immobiles, ou va-t-elle ? Quelques secondes plus tard, j'entends ses pas dans l'escalier, Mireille en profite pour reprendre son activité, m'embrassant de plus belle.
Des pas à nouveau nous font cesser rapidement, Aline redescend et se réinstalle à nouveau jusqu'à la fin du film. Elle se lève alors, retire la couverture et nous sépare l'un de l'autre. Elle me repose le bâillon anneau bien ajusté.
- Bon, ce n'est pas tout, il est tard, je vais vous installer pour la nuit.
Prenant les chainettes comme des laisses, elle nous fait monter à l'étage et entrer au fond du couloir dans une petite chambre. Celle-ci est dotée d'un lit ancien avec un cadre de bois, les montants sont équipés d'anneaux métalliques à différentes hauteurs. Elle nous fait mettre de chaque coté du lit elle revient vers moi, ôte mes bracelets, puis mes vêtements, me laissant uniquement le string. C'est ensuite au tour de Mireille, elle fait de même et la laisse aussi avec son string. Prenant un bandeau, elle la prive alors de la vue en plus de l'ouïe, puis prend un catsuit noir en latex, lui fait enfiler, le ferme entièrement, et repose ses bracelets aux chevilles puis aux poignets qu'elle relie dans son dos avec un cadenas. Elle est entièrement recouverte de latex hormis sa bouche qui ne tarde pas à être emplie du bâillon anneau. Satisfaite, elle la fait coucher sur le lit, puis l'attache, les pieds reliés au fond du lit et le collier à la tête de celui-ci l'empêchant de bouger. Satisfaite, elle vient vers moi.
- Elle est parée, à toi maintenant.
Elle prend un catsuit noir, entièrement opaque. D'un geste elle m'ôte le string, passe ses mains sur mon corps nu, ce qui ne tarde pas à me mettre en érection. Elle commence alors à m'enfiler le catsuit, repose mes bracelets aux chevilles, les reliant de suite avec un cadenas, elle reprend un instant son massage et s'arrête brusquement alors que j'étais sur le point d'exploser. Elle est diabolique !!!
Le catsuit fermé, elle ajuste les bracelets aux poignets, je suis immobilisé comme Mireille, les mains liées dans le dos. A nouveau Aline pose ses mains sur mon corps, insistant cette fois sur les tétons qu'elle pince fortement. Elle me fait coucher sur le lit et m'immobilise à mon tour. Elle me pousse contre Mireille, puis commence à nous relier l'un à l'autre avec des cordes, d'abord au niveau des genoux, puis de la taille et du torse. Elle s'active ensuite autour de mes poignets, elle y fixe une corde, puis passe l'extrémité libre entre mes cuisses et celles de Mireille. Un instant plus tard, j'ai compris qu'elle avait fixé l'autre extrémité aux poignets de Mireille, ce qui colle nos ventres l'un contre l'autre. Aline rit.
- Comme ça, vous serez proche l'un de l'autre, mais attention, s'il y a des débordements je le verrai et vous serez punis, alors à vous de choisir. Je vous laisse, passez une bonne nuit...
Aline est partie, Mireille ne bouge pas pendant un long moment, puis tout à coup esquisse un mouvement qui la plaque encore plus contre moi, des épaules aux genoux. Ma verge reprend forme et s'en apercevant, Mireille bouge son bassin et me bloque. C'est terriblement excitant, j'essaye de me contrôler, elle ne bouge plus. Quant à moi, ma raideur ne faiblit pas et nous restons longuement ainsi. Mireille doit craindre aussi les paroles d'Aline... Finalement, nous nous endormons.
Samedi matin...
Ce qui me réveille c'est l'impression de sentir quelque chose dans mon dos, Aline est là, silencieusement, elle entreprend d'ouvrir mon catsuit, descend le zip sous mes fesses, ses mains gantées de latex entreprennent alors une série de massages qui me conduisent rapidement à une érection maximale, ce qui réveille Mireille. Celle-ci colle son ventre contre moi, profitant de mon état. Aline qui se rend compte de la situation passe ses mains entre nos torses et me pince les tétons. Ce qui devait arriver se produit, j'explose tout d'un coup.
Mireille rit, et dit:
- Ce n'est pas bien du tout ce que tu viens de faire, tu seras puni pour cela...
Je ne peux répliquer et clamer mon innocence, c'est elle qui est responsables de la situation.
- Bon, c'est l'heure de se lever, je vais vous détacher, et vous rendre la vue.
Elle me détache du lit, me fait lever, remplace les bracelets des poignets par des menottes et m'enlève les bracelets des chevilles. Mon bas ventre est humide, mon bandeau enlevé je suis devant la glace et ce que je vois confirme ce que je pensais, le plug vibre à nouveau. Elle s'occupe de Mireille et la détache à son tour, la libère des différents bracelets, ôte son bandeau ainsi que son bâillon. Sous la cagoule elle a toujours ses bouchons d'oreille aussi elle s'approche tout près d'elle, lui demandant de me laver entièrement à la salle de bains, et que nous disposons d'une demi-heure. Elle nous pousse dans la salle de bains et nous laisse.
Mireille s'occupe d'elle en premier, prend son bandeau, elle me le pose m'aveuglant à nouveau, je l'entend quelques secondes plus tard prendre sa douche. Un moment plus tard, elle ouvre la fermeture de mon catsuit, ne pouvant éviter de voir mon état entretenu par le gode qui vibre toujours en moi.
Mes mains menottées dans le dos l'empêchent de me libérer complètement du catsuit. Elle me fait asseoir sur le tabouret, le fait glisser de mes épaules, et repliant mes jambes, me le fait quitter, celui-ci n'étant plus retenu que par mes bras menottés. Elle le roule en boule et me le coince dans les mains. Elle commence mon lavage complet, le dos et ensuite le devant, prenant de toute évidence plaisir devant cette situation particulière. Elle m'essuie ensuite.
- Je vais dire à Aline que j'ai terminé.
De toute façon, je ne peux bouger seul. Quelques instants plus tard, Aline entre dans la salle de bains, détache les menottes, m'ôte le catsuit, me rattache aussitôt les mains dans le dos et après avoir vérifié le serrage du bandeau replace un cadenas, interdisant son enlèvement. Elle accroche une chaine à l'anneau de mon collier et me tire nu hors de la salle de bains, on descend l'escalier, arrivés au pied de celui-ci, elle attache l'extrémité de la chaine à la rampe et me laisse. Elle revient me chercher quelques minutes plus tard, je comprends qu'elle m'entraine à la cuisine, me fait asseoir sur une chaise, glisse une corde autour de ma taille me lie à celle-ci, mes poignets dans le dos sont eux aussi pris par la corde. Elle m'enlève alors le bâillon.
- Mireille, fais-le déjeuner, tu as dix minutes, je vais prendre ma douche.
La porte de la cuisine se ferme, Mireille me dit alors
- Je vais te faire déjeuner, tiens, commence par un croissant chaud...
Je sens le croissant devant mes lèvres et croque dedans, c'est alors que les mains de Mireille se posent sur mes épaules et lentement elle vient s'asseoir sur moi. Je réalise alors qu'elle a mis l'autre extrémité du croissant dans sa bouche !!! Je la sens contre moi, sa poitrine est nue, et le contact de ses cuisses gainées de nylon m'électrise. Elle soulève son ventre et d'un seul coup s'empale sur moi. Quel petit déjeuner !!! En quelques secondes, j'explose en elle. Elle se lève alors.
- Il ne faut pas qu'Aline voit ce que l'on vient de faire, je vais faire disparaître les traces...
Je sens alors la bouche de Mireille m'avaler littéralement, ce qui bien entendu n'a pas pour effet de calmer mon émoi. Mireille imperturbable finit alors de me faire déjeuner, laissant sur mon ventre une serviette. C'est ainsi qu'Aline nous trouve quelques instants plus tard. Elle dit à Mireille :
- Vas te préparer dans ta chambre, nous partirons dans une demi-heure, je t'appellerai.
J'entends Mireille monter l'escalier, Aline est toujours dans la cuisine, tout à coup, ses mains se posent sur mes épaules, elle est derrière moi, ses mains descendent lentement sur ma poitrine et saisissent mes tétons, les pince fortement ce qui me fait pousser un petit cri. La serviette qui reposait sur mon ventre est alors transformée en bâillon.
- Comme ça, tu ne pourras pas crier...
Elle reprend son jeu, se concentrant sur ma poitrine, puis sa main droite descend et me saisit fermement, le jeu consiste alors à alterner pincements et va et vient sur ma verge, m'amenant à une érection totale.
Elle me détache de la chaise, me fait lever, me tire par la verge et m'entraine dans la maison.
- Que vais-je faire de toi, Mireille et moi allons profiter de ce beau temps pour aller en excursion, mais la femme de ménage doit venir, accompagner de son mari qui est plombier pour réparer la fuite d'eau, il ne faut pas qu'ils te voient.
On remonte à l'étage et elle me conduit à la salle de bains.
- Débrouilles-toi, car tu n'y retourneras pas avant ce soir...
Elle me laisse quelques minutes, puis revient me chercher, nous parcourrons le couloir, et me fait entrer dans la chambre.
- Je vais t'attacher sur le lit, Mireille a sorti les cordes, mets toi bien droit, jambes serrées et bras le long du corps et ne bouges plus. Avant enfiles ça.
Elle me tend une culotte de plastique que j'enfile et elle commence alors son ligotage par les épaules et descend méthodiquement jusqu'aux chevilles. Je ne peux plus bouger, les cordes font des anneaux espacés d'une dizaine de centimètres, elle reprend alors d'autres cordes et relie verticalement les anneaux, des pieds aux épaules, devant et derrière, passant une fois à gauche et une fois à droite de ma tête. Enfin deux dernières cordes relient chaque anneau, au niveau des bras, passant entre mes bras et mon corps empêchant toute tentative de ma part de faire glisser ceux-ci. Le bondage est total !!! C'est alors qu'elle appelle Mireille et à elles deux me font basculer sur le lit.
- Toute la journée, il risque d'avoir froid, on va l'enrouler dans la couverture, aides-moi.
Elles me roulent alors dans celle-ci.
- Passe-moi le sac des s a n g les, Mireille, il restera bien dedans comme ça et cela nous aidera à le fixer au lit pour qu'il ne tombe pas.
Quelques instants plus tard, je suis attaché sur le lit et l'une d'elle me glisse un oreiller sous la tête.
- Bon c'est parfait dit Aline, bonne journée, on pensera à toi, ne t'ennuie pas et ne t'inquiète pas si tu entends du bruit, ce seront les employés qui travaillent, je ne te mets pas de bâillon, comme on n'est pas là, ne fait pas de bruit.
Elle ferme la porte et j'entends la clé tourner dans la serrure. Je les entend dans le chalet un long moment, puis le bruit de la voiture me fait comprendre qu'elles sont parties. Me voilà seul, j'essaye de bouger, en vain, le bondage est parfait et l'enveloppement plus les s a n g les qui me lient au lit me collent à celui-ci.
Je pense que je me suis endormi, ce sont des bruits dans le chalet qui me réveillent, surement la femme de ménage et son mari. Ils proviennent de la cuisine. Tout à coup une voix féminine se fait entendre.
-
Tu vas en avoir pour longtemps ?
-
Je ne sais pas, mais je vais devoir changer un partie du tuyau, une grosse heure environ.
-
Quelle heure est-il ?
-
Dix heure trente.
-
Je vais faire le ménage, puisque c'est comme ça.
Quelques minutes plus tard, l'aspirateur fonctionne dans le séjour, le bruit des chaises et fauteuils que l'on bouge, montre que le travail est bien fait. Cela dure un long moment, puis la voix de la femme se fait à nouveau entendre.
- Je vais aller faire les chambres, puisque j'ai le temps, je monte.
A ce moment là, je réalise qu'elle va venir, mais je me souviens aussi qu'Aline a fermé la porte à clé avant de partir. A nouveau l'aspirateur fonctionne à l'étage, elle fait le couloir, puis les deux chambres d'Aline et de Mireille. Tout à coup, la poignée de ma chambre est tournée, puis une deuxième fois en vain. C'est à ce moment là que la femme de ménage parle à nouveau, elle réfléchit à haute voix.
- Mais pourquoi ont-elles fermé cette chambre, elles sont agitées ces filles, tant pis, je ne vais pas la nettoyer.
Elle repart, puis quelques minutes plus tard, une clé tourne dans la serrure...
- Je savais bien que la clé du placard ouvrait toutes les chambres, voilà.
La porte s'ouvre tout à coup, le clic de l'interrupteur, puis sa voix, mais cette fois très peu forte.
- Qu'est-ce c'est que ça ? Elles ont encore recommencé, un nouveau colis, et bien emballé. Elles sont folles ces deux.
Tout à coup, une main se pose sur moi, et commence à travers la couverture à me palper, d'abord au niveau de la poitrine, puis plus bas.
- Pas mal le paquet, et bien ficelé à ce que je vois. Bon cela ne va pas m'empêcher de faire le ménage.
Elle active l'aspirateur et se met à le passer dans la chambre. C'est à ce moment la que la voix du plombier se fait entendre.
- J'ai fini, tu veux que je monte chercher ton matériel ?
La voix de la femme de ménage dit aussitôt :
- Non, non j'ai terminé, je vais descendre, charge la voiture en attendant.
Elle replie son matériel et soudain j'entends près de mon oreille :
- Je vais revenir en début d'après-midi, mais seule... A tout à l'heure beau prisonnier.
Elle sort de la chambre et referme à clé aussitôt.
- Voilà, j'ai terminé, viens prendre l'aspirateur sur le palier si tu veux.
Quelques minutes plus tard la voiture s'éloigne du chalet. Je suis surpris par la tournure des évènements, apparemment, ce n'est pas la première fois qu'Aline amène quelqu'un dans le chalet, mais quelles sont les intentions de la femme de ménage ?
Une voiture s'arrête devant le chalet, serait-ce le retour de la femme de ménage ? Je ne vais pas tarder à le savoir. Quelques minutes plus tard, la clé tourne dans la serrure, quelqu'un entre dans la chambre.
- Me voilà, j'ai toute l'après-midi devant moi, elles rentreront tard, je les ai eues au téléphone, je leur ai dit qu'il y avait une soirée dansante au Club, et que ce serait dommage qu'elles la loupent, et que je passerai fermer les volets pour qu'elles soient tranquilles. Elles ne savent pas que je connais leurs manies, mais que j'adore pratiquer aussi. Voyons voir, je vais te déballer un peu, mais avant tout, te mettre un bâillon, ce sera mieux.
Elle me pose le bâillon anneau et entreprend de défaire les s a n g les, la couverture est tirée, me laissant nu, avec ma culotte de plastique sur le lit, entièrement saucissonné.
- Bon, pas mal protégé et bien attaché, je ne vais rien enlever, les possibilités sont nombreuses à exploiter.
Je sens qu'elle monte sur le bord du lit et soudain, me retourne comme une crêpe.
- C'est pas mal de ce coté non plus, je vais te chauffer un peu les fesses, elles ne verront rien, je doute qu'elles te déballent au retour, il sera trop tard.
Un martinet s'abat soudainement sur mes cuisses, puis remonte sur mes fesses à travers la culotte et le bas de mon dos, cela dure un long moment, j'essaye de me soustraire aux coups en vain, une chaleur monte en moi, je dois être cramoisi.
- Les lanières sont larges et ne laissent pas de trace, sauf que tout devient rouge, bien sur !!!
Elle reprend son action, poursuit sur l'ensemble de mon corps, l'impression de chaleur ne me quitte plus. Je l'entends à nouveau près de moi, ses mains se posent sur moi et me mettent sur le coté, puis je sens contre mon ventre et le haut de mes cuisses comme un gros coussin, elle me fait basculer sur le ventre et je me retrouve cette fois les fesses en l'air.
- C'est parfait, allez encore quelques coups pour bien rougir ton fessier.
Elle baisse la culotte et le martinet entre à nouveau en action pour plusieurs minutes, puis je sens ses mains contre mes fesses, elle a mis des gants de caoutchouc, elle écarte celles-ci. Que vas-t-elle faire ? Je commence à paniquer.
- Ne bouges pas, je vais combler ce trou devant moi.
Je sens alors le contact d'un objet, un plug ! Lentement, mais fermement, elle l'introduit en moi jusqu'à ce que je sente le contact de la partie large contre mes fesses et remonte la culotte.
- Tu vois, cela rentre bien avec un bon lubrifiant.
Elle me retourne alors d'un seul coup sur le dos, bloquant en même temps l'objet en moi. Je ne suis pas insensible à son action et cela se voit.
- Oh, mais tu as l'air d'aimer ça dis-moi.
Ses mains gantées s'emparent de mes tétons et les triture fortement.
- Bon quelques pinces à linge en bois maintenant, rien de mieux pour entretenir ton état.
Elle commence par mes seins, puis mes bourses, suivent les cuisses, le ventre. Je pense qu'elle ne s'arrête que lorsque toutes ont été placées. Je sens alors le martinet se promener sur moi, faisant bouger les pinces, c'est diabolique. Je pense que mon érection est maximale à ce moment là.
- Mais cela t'excite mon salaud, tu aimes ça, eh bien, tu vas en profiter, je vais te laisser un bon moment avec.
Pendant quelques secondes, sa main gantée glisse sous la culotte, s'empare de ma verge et me lâche au moment ou la pression monte.
- Gardes tes f o r c e s pour tout à l'heure. Je reviendrai plus tard, je vais voir ma copine. Qui sait, peut-être je lui parlerai de ce que j'ai fait de toi...
Elle s'en va, et la voiture s'éloigne du chalet, me voilà seul et sous la t o r t u r e des pinces qui se font sentir partout sur mon corps. Combien de temps cette situation a durée ? Le fait est que les pinces agissent et j'aimerai bien qu'on me les enlève.
Enfin une voiture s'approche, quelques instants plus tard, la porte de la chambre s'ouvre.
- Alors comment as-tu passé cette heure qui vient de s'écouler ?
C'est bien la femme de ménage, elle a remis les gants de caoutchouc et se promène à nouveau sur mon corps, quelques pinces tombent, à chaque fois je sens l'afflux de s a n g et cela provoque un grognement de ma part.
- Je vais t'en enlever quelques unes de plus, mais avec le martinet, tu vas voir, tu vas apprécier...
Effectivement, elle se met au travail et de nombreuses pinces sautent, me faisant sursauter à chaque fois. Cela produit aussi un autre effet dont-elle ne peut pas ne pas voir.
- Mais tu aimes ça, tu es vraiment maso.
Ses mains, nues cette fois, baissent ma culotte, s'emparent de ma verge et lentement font des va-et-vient. C'est à ce moment là que je reçois de nouveaux coups de martinet. Elle n'a pas trois mains !!! Il y a donc quelqu'un avec elle, une personne qui ne parle pas, mais qui m'a pris en main !!!
Cette personne s'allonge sur moi tête bêche, elle est nue de toute évidence et je sens des s a n g les se serrer et nous lier ainsi l'un à l'autre. De toute évidence, nous sommes collés l'un à l'autre, je ne sens pas ses bras ni ses mains, ce qui laisse supposer qu'elle les a maintenant liées dans son dos. Sa bouche est contre ma verge et tout à coup m'avale littéralement.
- Mais c'est bien comme ça, je vais vous laisser une petite heure, vous pourrez profiter de ce contact. Allez, vides-le pour voir si tu peux et pas de saletés donc débrouilles-toi.
Ma " partenaire " se remet à l'œuvre et en quelques secondes arrive à ses fins.
- Bien, je vous laisse, tu peux recommencer si tu veux dans quelques minutes, tiens prend ça dans tes mains,cela pourra te servir.
Elle s'en va et à nouveau repart du chalet.
Ma partenaire d'infortune a reposé sa tête sur mon bas ventre, mais quelques minutes plus tard ,sa langue commence à se mettre en action et me redonne de la vigueur. Se soulevant légèrement; je suis à nouveau avalé et ne peux résister à ses attentes. La scène va se reproduire, elle est vraiment insatiable, et jouit plusieurs fois. Quant à moi, je m'épuise à ce jeu et ai du mal à répondre à ses attentes. Une vibration se fait en moi, mon plug vibre, elle lui a mis la télécommande dans les mains, et elle essaye ainsi de me réactiver.
C'est ainsi que va nous trouver la femme de ménage à son retour.
- Vous avez l'air ramolli complètement, il est bientôt dix neuf heures, il faut partir, on va tout remettre en place.
Elle détache alors ma partenaire et remet la culotte en place et la couverture sur moi, puis les s a n g les comme elle m'a trouvé.
- Je vais t'enlever le bâillon, surtout pas un mot à qui que ce soit de notre passage, bien compris ?
Je fais oui de la tête et elle m'ôte le bâillon. Quelques instants plus tard, elles sont prêtes à partir.
- Allez, fais-lui un petit câlin avant de partir, tu en as bien profité, non ?
Ma compagne d'après-midi posant une main sur ma verge à travers la couverture, m'embrasse alors longuement, jusqu'à ce que j'ai montré par une nouvelle raideur que j'avais apprécié la situation.
- On s'en va, la maison est fermée, elles ne rentreront pas avant plusieurs heures encore, mais tu aimes-ça n'est-ce-pas ? Bonne soirée et qui sait, à une autre fois ?
Elles repartent me laissant dans ma méditation avec toujours le plug enfoncé en moi. Je finis par m'endormir et c'est le bruit de la voiture d'Aline qui me réveille.
Elle ouvre et entre dans la chambre.
- Alors, tu es toujours là ? Mais tu n'as pas bougé du tout, c'est bien. Il est très tard, je n'ai pas le courage de te changer de position, on verra demain matin, bonne nuit.
Elle sort de la chambre et me laisse ainsi. L'activité de la journée ,malgré mon immobilité a été intense et finalement je m'endors moi aussi.
Dimanche matin...
Des bruits dans la maison me font comprendre qu'elles sont levées, personne ne vient me voir, et je me demande si elles vont me laisser ici encore longtemps. Enfin la voix d'Aline se fait entendre.
- Il est 8 heures, tu as bien dormi, tu es reposé, couché depuis hier, mais peut-être tu as envie de passer à la salle de bains, je vais te détacher.
Elle me libère, et sans me faire prier file directement à la salle de bains, réussissant à lui cacher le plug qui est en moi. J'ouvre la douche et m'y glisse dessous, appréciant vivement cet instant. Les marques des cordes sont encore présentes, Aline tout à coup m'appelle et m'ordonne de descendre nu. Je m'empresse de m'essuyer et descend à la cuisine. Elles sont la toutes deux, Aline en survêtement et Mireille avec un body et une cagoule de latex rouge, des bracelets de cuir aux poignets et chevilles.
- Allez, tu déjeunes et ensuite on va décider de la journée, il fait beau nous allons en profiter pleinement avec Mireille.
J'en conclus que pour moi, cela va être encore une journée de privations. Sur la table de la cuisine, deux sacs à dos sont prêts, n'attendant que les filles pour une promenade, pour la journée semble-t-il. A peine le déjeuner terminé, je suis rejoint par Mireille qui porte un carton. Elle pose celui-ci sur la table et commence à en sortir plusieurs choses, en premier une culotte de plastique, un collant noir opaque et un body raz-le-cou à manches longues qu'elle me tend.
- enfiles-les le temps que je vide le carton, Aline arrive.
Je les prends et pendant que je les enfile, elle sort des bracelets, diverses chaines, une boite de cadenas et une autre contenant des maillons rapides à vis (attache rapide). Elle passe derrière moi et remonte la fermeture dans mon dos jusqu'au cou. Un " clic " me fait comprendre qu'elle a fixé l'anneau de la fermeture du body à un anneau du collier avec un petit cadenas. Puis le bâillon anneau vient prendre sa place et Mireille le fixe solidement.
- Comme ça, tu ne pourras pas l'enlever, si tu étais libre de tes mouvements, mais cela ne sera pas le cas.
Mireille repart et monte à l'étage, Aline arrive alors, elle est en tenue de montagnarde, elle entreprend de me poser les bracelets aux poignets et chevilles, les condamnant avec des cadenas.
Elle prend une longue chaine et fixe une extrémité à l'anneau du collier devant mon cou avec un maillon, fait descendre la chaine jusqu'à ma poitrine, l'entoure et à l'aide d'un nouveau maillon la fixe sans laisser de jeu, puis recommence autour de la taille. Elle passe l'extrémité de la chaine entre mes cuisses et la remonte en la tendant. Trois nouveaux maillons lui permettent de la fixer à la taille, sous la poitrine et à un anneau du collier derrière mon cou, ce qui constitue un début de réseau de chaines.
Elle tire sur la chaine, s'assure qu'elle est bien tendue, ensuite à l'aide d'une petite clé à molette, elle serre les dispositifs de vissage de chaque anneau les rendant impossibles à ouvrir sans un outil.
Elle passe aux jambes, et recommence un maillage serré en partant des pieds, chevilles. mi-tibias, sous et au-dessus des genoux, puis à mi-cuisses, et une dernière au niveau du bas-ventre. Ces chaines sont reliées entre elles par une autre chaine attachée devant à celle de la taille et par son équivalent à l'arrière. Les maillons servent pour les liaisons, bloqués méthodiquement l'un après l'autre.
Seuls mes bras sont encore libres, mais pas pour longtemps, deux maillons passés dans les anneaux des bracelets sont fixés à la chaine du bas-ventre au niveau des cuisses, puis des chaines plus courtes bloquent les bras le long du corps. Aline prend une nouvelle chaine, elle attache une extrémité à la cheville droite, puis la fait remonter le long de ma jambe jusqu'à l'épaule, un maillon la fixe, puis à l'aide d'autres maillons, elle relie tous les anneaux transversaux à cette chaine. Elle fait une boucle large autour de mon cou, bloquée avec un maillon et redescend sur le coté opposé en faisant les mêmes opérations, terminant en passant l'extrémité sous mes pieds et l'attache à l'autre extrémité de la même chaine près de ma cheville droite.. Cette fois, je suis comme dans une cage métallique souple.
- Te voilà bien enchainé, encore deux chaines verticales au niveau de tes tétons et ce sera parfait.
Un quart d'heure plus tard, je suis entièrement pris dans une cage métallique qui colle parfaitement à mon corps, Aline vérifie le serrage de tous les maillons avec sa clé, en les bloquant un à un de toutes ses f o r c e s.
- Bon, que vas-t-on faire de toi maintenant ?
Aline se tourne et voyant une poutre transversale, près de l'escalier, pas loin de moi, semble avoir fait son choix.
- Je te soutiens, sautille jusque sous la poutre, allez avance.
Lentement je sautille et me déplace de quelques mètres.
- Parfait, ne bouges plus.
Aline va chercher deux nouvelles chaines et les passe sur la poutre, les pans tombent sur moi.
- C'est bon, je vais te relier maintenant, avant je vais te faire mettre sur ce dictionnaire.
Approchant un tabouret du bar contre moi, elle me fait poser mes fesses dessus et glisse alors sous mes pieds le dictionnaire qui me surhausse de quelques centimètres. Aline me fait mettre debout dessus et revient près des chaines, ayant pris au passage quatre cadenas.
- Allez, mets-toi sur la pointe des pieds.
J'obéis, bien que l'équilibre soit précaire, elle fixe les deux pans de la première chaine latéralement aux chaines verticales en la tendant au maximum, puis fixe les deux pans de l'autre chaine à l'anneau horizontal qui se trouve au niveau de ma poitrine.
Aline vérifie la tension des chaines et s'appuyant contre moi, me déstabilise et d'un coup de pied fait glisser le dictionnaire. Je me retrouve pendu, les pieds à quelques centimètres du sol.
- Eh bien voilà, c'est parfait, tu ne peux plus rien faire, si il reste encore quelque chose, mais tout à l'heure.
Elle appelle alors Mireille, lui disant qu'il est 9h30 et qu'elles vont partir. Celle-ci descend, vêtue comme Aline, avec la différence que ses poignets sont toujours équipés des bracelets et son cou porte un lourd collier de cuir avec plusieurs anneaux.
- Nous allons prendre le chemin derrière la maison et suivre le GR, si tout va bien, nous rentrerons vers 16h00, viens ici, mets ton sac sur le dos, mais avant ramasse tout ce qui est sur la table et va le porter dans la benne à ordures.
Mireille s'exécute et un quart d'heure plus tard revient et s'équipe de son sac. Aline vient et me fixe le bandeau m'isolant totalement, suspendu dans l'air.
- Jusqu'à ce soir, j'ai peur que tu prennes froid, je vais y remédier, nous avons le gros rouleau de film plastique, je serai plus tranquille.
Je sens tout à coup qu'elle déroule autour de moi le film plastique, en quelques minutes je suis entièrement enveloppé par dessus les chaines, cela m'immobilise encore plus, des pieds au cou, seule ma tête est épargnée.
- Bon, c'est parfait, allons-y partons.
J'entends la porte claquer et la clé tourner dans la serrure, me voilà seul pour plusieurs heures, la position n'est pas trop dure, les chaines sont bien équilibrées et me soutiennent totalement. Seule la notion du temps qui passe va m'occuper, pour l'instant le chant des oiseaux en ce début de matinée est présent. Aucun autre bruit ne parvient au chalet isolé des autres habitations de plusieurs centaines de mètres.
J'entends le clocher du village sonner les heures, 10 puis 11 et maintenant midi j'ai l'impression d'être prisonnier depuis longtemps, et ce n'est pas fini.
Un bruit me fait sursauter, la clé dans la serrure, quelqu'un rentre dans la maison, les filles ont sans doute décidé d'écourter leur promenade. Ce qui me paraît bizarre, c'est qu'elles ne font aucun bruit, pensent-elles que je dors ?
Tout à coup, je sens des mains me toucher, mes tétons sont pincés à travers le plastique, puis les mains se portent sur mes fesses et parfois sur mon sexe. Qui-est-ce, Aline ou Mireille, je ne le sais pas, ce qui est sur c'est qu'elle a décidé de me mettre en émoi. Tout à coup, je sens qu'elle découpe le plastique autour de mon ventre, écarte le body, baisse le collant et la culotte, libère ma verge qui est aussitôt prise en main. En quelques secondes, je suis en érection. Les mains abandonnent leur action pour se reporter sur mes tétons et mes fesses, ce qui me maintient en émoi.
Puis plus rien, est-elle allé faire quelque chose dans la maison ? Toujours aucun bruit ne me parvient. C'est à ce moment-là que je suis littéralement avalé, la bouche qui m'enveloppe est active et vorace, s'écarte lorsqu'elle sent que je risque de me lâcher. L'expérience va durer un très long moment, jusque à mon éjaculation. Elle reprend son action et me nettoie minutieusement, puis je sens qu'elle découpe le plastique me libérant de celui-ci. Aussitôt, j'entends le rouleau de film plastique et son contact sur moi, elle m'enveloppe à nouveau entièrement, tout en tendant le plastique au maximum, et en posant plusieurs couches, des pieds aux épaules.
Me voilà encore plus emballé, puis plus rien, si ce n'est le bruit de la clé qui tourne dans la serrure. Je suis seul à nouveau semble-t-il dans la maison. Qui est venue me traiter de la sorte ? J'avoue que cela m'intrigue, la seule autre personne disposant de la clé est à ma connaissance la femme de ménage. Serait-elle venue en douce ?
17h ont sonné quand j'entends cette fois Aline et Mireille revenir de leur promenade. Sans se préoccuper de moi, elles vont et viennent dans le chalet. Aline fait remarquer qu'elles sont en retard et qu'elles doivent se dépêcher de partir, Mireille est chargée de préparer les affaires et de les mettre dans la voiture, Aline demande à Mireille :
- Je ne trouves plus la clé pour défaire les anneaux des chaines, tu l'as prise ?
Non réponds Mireille. Aline reprends :
- Mais elle était sur la table dans le plastique.
C'est à ce moment que Mireille dit:
- Le plastique, mais il y avait des saletés, je l'ai jeté avec le reste des ordures dans le container métallique.
Aline dit alors:
- Il est impossible de récupérer le sac, on ne peut pas ouvrir la trappe du container, et il n'y a pas d'outils ici, il ne nous reste plus qu'à le ramener attaché, on le libèrera à la maison. Viens m'aider à le mettre dans la voiture.
Elles viennent près de moi, me mettent le dictionnaire sous les pieds et détachent les chaines qui me suspendent, puis me soutenant chacune d'un coté, elles me font sautiller et lentement je suis conduit à la voiture au garage, et installé sur le siège arrière. Elles me mettent la ceinture qui me maintient droit sur le siège. Aline dit :
- Eh bien, tu vas être satisfait, tu es attaché encore pour un certain temps.
Elles s'affairent encore un moment et nous voilà partis pour rejoindre la maison. Le trajet de retour se passe sans problème. Enfin la voiture s'arrête, je ne sais pas ou nous somme, Aline se manifeste alors.
- Il est tard, on va te faire rentrer chez toi, on verra pour la suite.
Je n'en sais pas plus, Aline et Mireille comme au chalet, me font sautiller pour entrer dans la maison, elles me guident chacune d'un coté et me font coucher sur le canapé. C'est à ce moment la que le portable d'Aline sonne, elle est dans la cuisine vraisemblablement. Elle parle quelques secondes, puis revient dans le séjour en disant.
- Je dois partir, on m'attend, Mireille, tu viens avec moi, Marc ne risque rien, on va le laisser, on reviendra le détacher plus tard.
Je les entends encore quelques instants et la porte se ferme, elles m'ont laissé sans rien me dire de plus que ce que j'ai entendu. Le temps passe, rien ne se passe et je finis par m'endormir ainsi sur le canapé.
Je me réveille enfin, quelle heure peut-il être ? Je n'en ai aucune idée, je suis toujours aveuglé et rien ne filtre à travers le bandeau. Tout à coup le téléphone sonne, bascule sur le répondeur, je reconnais aussitôt la voix d'Aline :
Lundi matin...
Bonjour Marc, tu as bien dormi, il est neuf heures, on n'a pas eu le courage de revenir hier au soir, nous sommes au travail et avons de nombreux rendez-vous, aussi j'ai demandé à Anna de venir te libérer, elle m'a dit qu'elle viendrai dès que possible. Ne t'impatientes pas trop ! Je t'embrasse.
La porte s'ouvre enfin, c'est Anna qui entre dans la maison.
- Monsieur Marc ? C'est moi, je viens vous délivrer, ou êtes vous ?
Les pas d'Anna dans le salon résonnent et tout à coup ses mains se posent sur moi.
- Elles vous ont bien emballé, vous êtes comme ça depuis hier au soir ?
Je ne peux lui répondre immédiatement, elle m'ôte le bâillon, ce qui me permet de faire bouger ma mâchoire, et elle commence à enlever le plastique qui m'entoure.
- Eh bien ,vous êtes bien attaché encore aujourd'hui, et cette cage de chaines est bien étroite elle aussi. Comment vais-je vous libérer de cela ? Je vais aller chercher des outils au garage.
Quelques minutes plus tard, Anna commence à ôter les maillons, ma libération se fait lentement. Je suis enfin libre, Anna ouvre la cagoule et me l'enlève, me rendant par la même occasion la vue. Mes yeux s'accommodent à la lumière et je la vois dans son ensemble de cuir, qui sourit devant moi.
- Racontez-moi votre soirée, cela a été hard semble-t-il ?
Quand je lui dis qu'en fait je suis attaché depuis vendredi soir, ses yeux expriment leur surprise.
- Vous avez été attaché tout le temps ?
Je lui réponds que oui et que la cagoule a été en permanence sur ma tête, Anna ayant omis de prendre la clé du cadenas. Je lui fait part de mon désir d'aller rapidement à la salle de bains, pour satisfaire mes besoins et prendre une douche après cette longue séance.
- Allez-y, je vais ranger un peu vos affaires, vous avez une serviette pour vous essuyer.
Un quart d'heure plus tard, je suis lavé et essuyé, n'ayant pas de vêtements sur place, je sors la serviette autour de la taille. Anna est la, devant moi, elle me tend la main dit :
- Donnez moi la serviette, je vais la mettre à sécher, je présume que vous avez faim, je vous ai préparé un bon petit déjeuner à la cuisine, allez-y vite.
Je n'ose rien dire et c'est nu que je me dirige vers la cuisine. Anna me rejoint rapidement et s'installe sur l'angle de la table, laissant apparaître le haut de ses bas sans se soucier de moi alors que je prends place à la table et commence à manger.
- Depuis que je viens m'occuper de votre maison, nous ne nous sommes pas vus beaucoup, mais vous devez vous poser maintenant quelques questions à mon sujet n'est-ce pas ?
Je lui réponds que oui, surtout depuis que j'ai constaté qu'Anna la connaissait, la semaine dernière. Elle me réponds aussitôt.
- En fait je suis une amie d'Anna, je suis infirmière libérale et dispose de temps libre selon mes rendez-vous. Quand elle m'a dit que vous cherchiez quelqu'un pour venir de temps en temps, je lui ai suggéré que je pourrais être candidate, surtout depuis qu'elle m'a dit quels sont vos petits jeux et vos envies. Ce qui m'intéresse, c'est de participer moi aussi.
Je réponds que cela me touche beaucoup et que je suis enchanté de la tournure que prend notre relation. A ce moment là, Anna se lève, passe derrière moi et rapidement de ses mains saisit mes tétons par derrière et les pince fortement. Je ne peux m'empêcher de sursauter, mais elle ne lâche pas prise.
- Je vais donc à mon tour pouvoir faire de vous ce que j'ai envie, serez-vous ma chose, entièrement disponible en dehors des heures de votre travail ?
Je réponds " oui Maitresse, je suis à votre entière disposition ".
-
Je vais dorénavant te tutoyer, quant à toi tu continues à me vouvoyer et à m'appeler dorénavant " Maitresse Anna ".
-
Oui Maitresse Anna.
Anna vient se mettre face à moi et s'installe pour se servir un café. Ses jambes bottées, viennent sous la table à la rencontre des miennes et ses pieds se positionnent en haut de mes cuisses, pressant mon sexe alors que les talons se glissent dessous.
- Tu es en vacances cette semaine, as-tu prévu des activités ?
Je réponds que non, que je souhaitais simplement me reposer sans but précis.
- C'est parfait, donc tu es totalement disponible.
Cela semble ravir Anna, elle se lève, me disant:
- Restes ici, je vais revenir dans quelques minutes, finis de déjeuner tranquillement.
Elle se dirige vers les chambres, je l'entend ouvrir et fermer les portes. Elle revient enfin au bout d'un moment avec une clé à la main.
- J'ai mis tous tes habits dans la penderie, et j'ai fermé la porte à clé, je la garde avec moi, comme cela tu seras dépendant de moi entièrement. Maintenant viens avec moi.
Je me lève et la suis au salon. Elle a posée plusieurs choses sur la table. Des dessous noirs et une robe noire longue qui se trouvait dans ma penderie.
- Habilles-toi que je regarde à quoi tu ressembles.
J'enfile le string, suivi du porte jarretelles et des bas, un caraco accompagne l'ensemble, puis les chaussures à talons dont je ferme les brides et enfin la robe. Anna passe derrière moi et ferme celle-ci.
- Pas mal, mais un peu austère ta robe, et surtout pas sexy. Je vais y remédier.
Elle part à la cuisine et revient avec un ciseau.
- Voyons mets toi bien droit devant moi.
Elle prend le ciseau et coupe le bas de la robe sous les genoux.
- C'est mieux, marche un peu pour voir.
Je fais quelques pas et reviens vers elle. Elle me fait recommencer et semble satisfaite.
- Pour l'ourlet, on verra plus tard. Bien, tu vas m'attendre dehors, sors et dirige toi vers le portail lentement, mais avant viens ici.
Je me dirige vers elle alors qu'elle fouille dans un sac et en sort une perruque brune.
- Avec ça, tu seras plus dans le ton, mets toi à genoux devant moi.
Je m'exécute aussitôt, et elle pose sur ma tête la perruque, l'ajuste et la coiffe.
- C'est beaucoup mieux, maintenant tu peux sortir et va m'attendre à coté de ma voiture, je vais faire quelques visites et tu vas m'accompagner.
Je n'ai pas le choix et m'exécute, bien que la route soit assez loin de mon portail, je crains surtout que quelqu'un vienne vers la maison. Arrivé à la voiture d'Anna, je me tiens entre la voiture et ma maison, essayant de me cacher un peu de la vue. Anna arrive 5 minutes plus tard, me fait asseoir à l'arrière et me mets la ceinture. Les vitres de sa voiture sont teintées, on ne voit rien de l'extérieur.
- Je ne veux pas entendre un seul mot sortir de ta bouche sinon je me verrai dans l'obligation de te bâillonner, c'est compris ?
Je réponds " oui maitresse " et nous partons en direction de la ville. Anna ne dit rien, agissant comme si je n'étais pas là. Arrivés en ville, elle cherche à se garer et trouve une place près du marché. Il est 11 heures, beaucoup de monde circule à cette heure et passe près de la voiture. Elle va chercher un ticket à l'horodateur et le place sur le tableau de bord. Se retournant vers moi elle dit:
- Tu vas m'attendre ici, j'en ai pour un moment. Ne te fais pas trop remarquer.
Elle sort et ferme la voiture. Me voilà seul au milieu d'un flux de personnes circulant sans arrêt. Cela doit faire environ une demi-heure que je suis là quand un personne de la police municipale arrive, elle contrôle les tickets de stationnement. Tout à coup je me demande si Anna a bien mis suffisamment de temps. Je sens une bouffée de chaleur m'envahir, comment vais-je faire si je suis sollicité ? Elle avance lentement et arrive à la voiture. Elle se penche et regarde le ticket. J'ai des sueurs d'autant plus qu'en se penchant sur le pare-brise, elle peut me voir à l'arrière de la voiture. Le temps me paraît long, et finalement après un dernier regard, elle passe à la voiture suivante.
Midi vient de sonner et toujours pas d'Anna, je ne sais pas ou elle est et je commence à trouver le temps long. Anna revient à 12h30, s'installe au volant et démarre.
- Nous allons passer chez la couturière, c'est à la sortie de la ville.
Je présume que nous allons chercher une livraison. La voiture s'arrête devant un petit magasin, Anne descend, et ouvre la porte de mon coté.
- Allez, sors dépêches-toi.
Effrayé, j'hésite un moment.
- Tu seras puni pour cette hésitation, dehors et vite.
Je quitte la voiture, Anna ouvre la porte du magasin et me dit d'entrer. Une femme, la cinquantaine viens vers Anna et l'embrasse.
-
Alors, c'est cette robe que je dois arranger ?
-
Oui Amanda dit Anna, tu peux le faire.
-
Bien sûr, il y en a pour un quart d'heure, attends, je ferme la porte et tire le rideau.
Nous voilà isolés dans le magasin, Amanda, la couturière revient vers moi, me prends par le bras et me fait monter sur une petite estrade. Prenant ses épingles, elle marque l'ourlet en quelques minutes.
- Bon, maintenant, il faut me donner la robe, allez, enlèves-là.
Anna passe derrière moi et la dégrafe, la faisant glisser en même temps. Je me retrouve en caraco avec mes dessous. Elle la tend à Amanda, celle-ci lui dit:
- Tu restes déjeuner avec moi ? On aura le temps de parler un peu. Si tu veux passe à la garde-robe, tu pourras lui trouver quelque chose à se mettre en attendant.
Anna me laisse et va fouiller dans la pièce. Elle revient un moment plus tard avec des vêtements sur un cintre. Se tournant vers Amanda, elle dit :
-
C'est sympa cette tenue de bonne, tu l'avais faite pour une pièce de théâtre ? Elle à l'air à sa taille.
-
C'est d'accord, je reste pour déjeuner, il fera le service comme ça.
Amanda me regarde et dit à Anna:
- Regardes dans le tiroir ici, tu vas trouver des collants intégraux opaques de danseuses, prends-en un totalement fermé, avec les gants incorporés et fais-lui mettre sous sa tenue, ils sont bien noirs.
Anna revient avec l'un d'entre eux, m'enlève le caraco et me le fait enfiler, puis me fait mettre la robe et la ferme dans le dos. Le collant est épais, je vois légèrement à travers. Elle me remet la perruque par dessus.
-
C'est parfait, comme ça, on ne le voit plus et lui nous devine à peine, il y voit cependant suffisamment pour se déplacer. Je n'arrive pas à fermer complètement sa robe.
-
Attends, je vais faire un point de couture en prenant le fermoir, elle ne s'ouvrira pas.
Amanda passe derrière moi et bloque la glissière de la fermeture dans mon cou.
-
Comme ça, cela ne glissera plus, il faudra couper le fil, mais on verra cela plus tard.
-
Va mettre le couvert à la cuisine et laisse-nous discuter tranquillement.
Je me dirige vers la cuisine et installe la table pour les deux amies, bien entendu, j'ai compris que dans ma situation, je n'aurai seulement qu'à faire le service. Elles arrivent un quart d'heure plus tard, apparemment ma robe a été raccourcie. Elles s'installent à table et je fais le service. Une fois qu'elles ont terminé, je leur sert le café, Amanda se lève, ouvre un placard et en sort une paire de gants de latex.
- Allez, enfile cela, tu vas faire la vaisselle, puisque tu es là.
Il ne me reste plus qu'à m'exécuter alors qu'elles repartent pour le magasin. Une fois terminé, je range la vaisselle et attends leur retour.
Anna revient avec Amanda et dit :
- Je vais en rendez-vous, Amanda n'a pas sa femme de ménage aussi tu vas rester et la remplacer.
Anna prends ses affaires et part, me laissant avec Amanda. Celle-ci me conduit à l'étage et m'indique ou se trouve la buanderie.
- Tu vas passer l'aspirateur partout et faire les vitres, je pense que cela devrait t'occuper un bon moment, surtout dans ta tenue. Interdiction de parler, je reçois des clientes dans le magasin tout l'après-midi. Il est 14h30, je dois aller ouvrir, s'il reste des traces sur les vitres, je le dirai à Anna bien entendu.
Je décide de commencer par passer l'aspirateur, l'étage est grand, il y a quatre chambres et deux salles de bain en plus de la buanderie. Celle-ci est très grande et sert à ranger les vêtements du magasin. Il y a des tringles fixes et des portants. Je commence mon travail, bien que ma vision soit diminuée par la cagoule. La radio marche dans la boutique, cela me permet d'avoir une notion du temps qui passe. A 16h30, j'ai enfin terminé de passer l'aspirateur partout, Amanda est montée plusieurs fois chercher des vêtements, mais a fait comme si je n'existait pas. Je vais commencer les vitres et je me rends compte que la tache ne sera pas facile, car j'ai du mal à voir s'il reste des traces avec ma cagoule !!!
Alors que j'ai commencé les vitres depuis quelques minutes, j'entends Amanda monter, et venir vers moi.
-Alors, ça avance ? Tu dois faire toutes les vitres, je vais te compliquer un peu la tache.
Amanda ouvre un tiroir et en sort une courte chaine et deux cadenas, se baissant devant moi, elle m'attache les chevilles, en laissant qu'une quinzaine de centimètres environ entre elles, puis sort une ceinture de cuir, équipée de deux chainettes reliées à un anneau, les chainettes ont à l'autre extrémité des bracelets de cuir. Elle m'attache la ceinture (qui se ferme dans le dos) et me pose les bracelets qui se verrouillent avec de petits cadenas. Elle vérifie l'ensemble, je n'ai plus qu'une trentaine de centimètres de marge de manœuvre.
- C'est parfait, tu vas devoir faire preuve d'imagination pour atteindre le haut des vitres. Débrouilles-toi et ne te montres pas trop lorsque tu feras l'extérieur des vitres.
Elle repart en rigolant, de nouveaux clients sont entrés au magasin. La tache qui m'attend prend une nouvelle dimension. Comment atteindre le haut des vitres, alors qu'avec les chaines, je n'arrive qu'à environ 1,60m du sol !!! Je commence par la buanderie, ou je n'arrive pas à atteindre le haut des fenêtres, je cherche dans la pièce et finit par trouver un escabeau avec quatre marches. Je l'installe et essaye de monter, mais avec les chevilles entravées et mes chaussures à talons, je n'y arrive pas. Finalement, je trouve la solution en m'asseyant sur la marche la plus haute, je pose mes pieds sur la troisième et je me redresse lentement. Cela me prends beaucoup de temps à chaque fois.
A 18h30, j'ai terminé les chambre, je me dirige vers la buanderie, il y a deux grandes fenêtres, alors que je vais commencer, Amanda monte et me dit:
- Tu n'as pas encore fini ? Je vais devoir faire monter quelqu'un pour choisir des tenues, elle ne doit pas te voir, tu vas entrer ici.
Elle ouvre une porte, c'est un petit placard peu profond, c'est très étroit, je vas être coincé.
- Avances là-dedans.
Allant vers un portant, elle revient avec plusieurs foulards. Un premier lui sert à me bâillonner, un deuxième immobilise mes mains et après m'avoir poussé dans le placard, elle se sert du troisième pour me plaquer face au mur, se servant de deux gros anneaux fixés au fond, enfin un quatrième placé au niveau de mes genoux finit de m'immobiliser.
- Et voilà, tu vois que tu rentres, et tu en plus tu ne bougeras pas ainsi attaché.
Elle ferme aussitôt la porte, me mettant dans le noir absolu. Cinq minutes plus tard, j'entends des voix. C'est alors que le téléphone sonne, je comprends que c'est Anna qui l'appelle.
Lorsque Anna arrive, elles sont encore à s'activer dans la pièce. Anna s'étonne de rencontrer la personne, qui se prénomme Isabelle, les trois filles entrent alors dans une longue discussion, et finalement Isabelle propose à Amanda et Anna d'aller diner ensemble. Elle se veut insistante, Amanda et Anna acceptent, Anna dit :
-
Tu as rangé le matériel de nettoyage ? Il te convient ?
-
Oui, répond Amanda, dans le placard.
-
C'est très bien.
Elles descendent toutes trois et je les entends fermer le magasin et sortir. Me voilà dans une situation qui risque de durer une bonne partie de la soirée. J'essaye de bouger, mais suis bloqué de tous cotés, comme dans une caisse verticale.
Combien de temps s'est-il écoulé depuis leur départ, je n'en ai aucune idée. J'entends du bruit, elles reviennent, je vais être libéré. Ce qui est étrange, c'est que personne ne vient me voir, quelques instants plus tard ,j'entends couler l'eau, quelqu'un se douche, puis après plusieurs va-et-vient le calme s'installe. Amanda est revenue seule ? Au bout d'un moment je comprends que oui, et elle est allée se coucher, me laissant ainsi.
Mardi
Du bruit, celui-ci me réveille, quelqu'un entre dans la pièce. J'entends aussitôt la voix d'Amanda.
- Alors la bonne, on flemmarde, on ne m'a pas préparé le petit déjeuner, ce n'est pas bien, cela va se payer dit-elle en riant.
Amanda ouvre le placard et me détache du mur, elle me fait reculer dans la pièce, je suis courbaturé d'avoir passé beaucoup de temps enfermé.
- Je suis rentrée tard ,et n'ai pas eu envie de te délivrer hier au soir, ou plutôt ce matin...on a fait la java !!! Il est 07h, tu vas aller aux toilettes et ensuite on verra. Anna travaille toute la journée, aussi je vais m'occuper de toi.
Elle détache mes mains, m'enlève le bâillon et libère la fermeture de la robe.
- Allez déshabilles-toi entièrement, tu vas passer sous la douche d'abord.
Je m'exécute, je suis maintenant nu devant elle, elle me pousse vers la salle de bains.
- Allez, sous la douche et laves-toi entièrement.
J'ouvre l'eau, celle-ci est froide, j'hésite à entrer dessous;
- Cela va te faire du bien, l'eau froide n'a jamais tué personne, allez vas-y.
Elle saisit la douchette et m'arrose copieusement.
- Termines tout seul, essuies-toi et descends à la cuisine déjeuner, tu as ce qu'il faut sur la table. Profites-en prends des f o r c e s pour la journée. Je vais chercher ce qu'il faut pour t'habiller.
Alors que je termine mon déjeuner, Amanda redescend, portant une caisse en plastique contenant des vêtements. Elle commence à les disposer sur une chaise pendant que je range la table.
- Viens ici, mets toi devant moi de dos.
Elle prend quelque chose sur la chaise et la place sur mon torse, après m'avoir fait passer les bras dans des bretelles. C'est un corset ancien rigide, elle le plaque sur moi et rabat les pans dans mon dos. Plusieurs crochets lui permettent de le faire tenir, il me couvre le torse du dessous des bras au haut des cuisses. Plusieurs petits anneaux métalliques sont fixés au niveau de la taille ainsi que sur le bas. Les bonnets de la poitrine sont remplis de mousse en totalité.
- Je vais le lacer, cela va l'ajuster sur toi.
Commence alors un long exercice qui me met à rude épreuve, lentement mais surement, il me serre comme un carcan rigide, cela va durer un bon quart d'heure !!!
- Bon, ce n'est pas mal, je vais t'enfiler les bas, cela évitera qu'il ne remonte.
Elle prend une paire de bas gris, assez épais et me les enfile, puis attache les jarretelles, constituées de larges rubans élastiques, il y en a trois de chaque coté. Effectivement une fois en place, je ressent une tension forte qui colle encore plus le corset sur mes fesses. Amanda s'affaire alors sur les réglages jusqu'à ce que l'ensemble soit parfaitement tendu. Prenant ensuite dans un carton une paire de chaussures montantes, elle me les enfile, les attache et ferme les brides avec de petits cadenas.
- Marche un peu, pour voir, va jusqu'à la fenêtre, et reviens.
J'avoue que cela m'a excité et Amanda s'en aperçoit.
- Ben mon cochon, cela t'excite, je vais cacher tout ça.
Elle me tend une culotte ancienne, je l'enfile, elle arrive au dessus des genoux et comporte différents rubans qui permettent de l'ajuster. Amanda s'en charge rapidement. Suit ensuite la perruque, puis une robe paysanne couvre l'ensemble. Elle l'attache et l'ajuste à son tour.
- Voilà une belle fille du siècle passé, bon maintenant quelques contraintes, c'est évident.
Elle prend quatre bracelets de cuir, m'en place un à chaque poignet, puis soulevant ma jupe, elle en fixe un sur chaque jambe, juste au dessus du genou, coincé sous la jambe de la culotte. Les cadenas sont fermés sur leurs attaches. Un autre cadenas est positionné reliant les anneaux des bracelets des genoux, me laissant aucune marge. Elle rabat la robe, cachant l'ensemble.
Mes mains sont à leur tour liées l'une à l'autre dans mon dos.
- Pour le silence, cela devrait aller avec ça.
Amanda prend une balle fixée sur une courroie de cuir, me l'enfonce dans la bouche, celle-ci n'entre pas totalement, la courroie fixée derrière mon cou la maintient fermement.
- Eh bien te voilà équipé, je vais aller ouvrir la boutique maintenant, passe dans le couloir.
Elle me fait avancer jusqu'à la boutique et me pousse dans une cabine d'essayage. Elle tire le rideau devant moi, il y a une chaise de bois, elle me fait asseoir dessus, les bras passés derrière le dossier, ensuite elle prend un gros rouleau d'adhésif et en quelques secondes, me lie à la chaise. Elle termine en me mettant un bandeau me masquant totalement la vue.
- Bon, maintenant je t'oublie jusqu'à la fermeture du magasin, ce sera ta punition.
C'est ainsi que je vais passer la deuxième journée de mes vacances !!! La radio annonce 12h30, plusieurs personnes sont venues à la boutique, certaines sont entrées dans la cabine voisine faire des essayages, sans soupçonner ma présence à coté. Amanda ferme le rideau et ouvre ma cabine.
- Alors tu ne t'es pas trop ennuyé ? Finalement, je vais te libérer, pour le déjeuner, bien que tu supportes bien cet état semble-t-il.
Elle coupe l'adhésif, me libère du bandeau et du bâillon, puis détache mes poignets.
- Lèves-toi, tu vas garder les genoux entravés, quand même. Allons à la cuisine.
Je me dirige vers la cuisine, Amanda m'autorise à passer par les toilettes, et je la retrouve dans la cuisine. Une salade complète est sur la table et j'avoue prendre un certain plaisir à la partager avec Amanda. Celle-ci en profite pour me faire parler et évoquer les différentes situations dans lesquelles j'ai été confrontées.
- Tu adores vraiment être attaché, dans toutes les situations !
Nous terminons le repas, je fais la vaisselle et range la cuisine. Amanda pendant ce temps est retournée au magasin. Elle m'appelle me demandant de la rejoindre. Je la retrouve au magasin.
- Mets-toi là devant, je vais prendre quelques mesures de toi.
Prenant un carnet et un mètre de couturière, la voilà qui me mesure de haut en bas. Me faisant coller mes bras le long des cuisses, elle mesure le tour de mon corps tous les vingt centimètres environ, puis mon tour de cou et même mon visage est ainsi traité.
- Bon, ce n'est pas tout, tu vas reprendre ta place comme ce matin.
Quelques minutes plus tard, je suis attaché à nouveau, bâillonné et les yeux bandés. Elle n'a pas regretté l'adhésif, cette fois, je ne peux rien bouger, la chaise étant poussée contre le mur, elle m'attache la tête bien raide aux porte manteaux situés au dessus de moi.
- J'espère que tu aimes cette petite attention supplémentaire ? Non ?
Elle referme la cabine et va ouvrir son magasin. Deux clientes sont devant la porte. L'après-midi se passe sans qu'elle vienne me voir, les infos de 19h sont commencées lorsque j'entends dans la boutique la voix d'Anna, elle est revenue et converse avec Amanda.
-
Tu n'as pas eu de problème avec lui ?
-
Non, je l'ai rangé toute la journée dans la cabine.
J'entends Anna ouvrir celle-ci et rire en me voyant.
- Il est chou habillé comme ça, je le détache pour le voir debout.
Quelques instants plus tard, je suis au milieu de la boutique, toujours menotté et bâillonné, mais sans le bandeau sur les yeux. Elles tournent autour de moi, et défroissent un peu ma tenue. Anna soulève la robe et s'extasie sur mes dessous.
- C'est très original, je peux le garder comme ça pour la soirée ?
Oui, pas de problème dit Amanda, je vais te préparer quelque chose pour demain, tu verras, cela devrait te convenir. Je te l'apporterai demain soir, en venant diner.
- Oui bien sur, nous serons chez Marc, il y a de l'espace chez lui. Allez, nous partons.
Amanda a mis les affaires que j'avais lorsque nous sommes arrivés dans un sac plastique et le donne à Anna. Celle-ci me pousse dehors, sans regarder si quelqu'un est dans la rue
et me fait m'installer dans la voiture. Nous partons et rentrons directement chez moi.
- Alors ça t'a plu cette journée ?
Ne pouvant parler, j'opine de la tête. Anna me fait entrer dans la maison et me pousse sur le canapé.
- Restes là pour le moment, je m'installe chez toi pour les deux jours à venir, comme ça, je vais bien m'occuper de toi...Au fait, j'ai eu Mireille au téléphone et je lui ai dit que tu étais reparti pour ton travail jusqu'à vendredi après-midi, on va être tranquille elle n'a aucune raison de venir ici !!!
Elle revient et me fait lever, puis me conduit à la cuisine. Prenant les clés des cadenas, elle détache mes poignets et m'enlève le bâillon, mais s'aperçoit qu'il lui manque la clé du cadenas qui relie mes jambes au niveau des genoux.
- Tant pis, je ne vais pas retourner chez Amanda, tu resteras comme cela jusqu'à demain matin.
Je suis chargé du repas et de la vaisselle, Anna s'est installée au salon et regarde un film à la télé. La vaisselle terminée, je reste à la cuisine attendant ses directives. Elles ne tardent pas, Anna me demande de lui apporter une tisane, je m'empresse de la préparer et porte le plateau au séjour. Je m'approche d'elle, elle fait comme si je n'étais pas là. Je reste près du fauteuil, debout, tenant le plateau devant moi, parfaitement immobile. Je vais rester ainsi un long moment, avant qu'elle ne m'autorise à le poser, puis faire le service.
A la fin du film, elle se manifeste.
- Que vais-je faire de toi cette nuit ? Vas à la salle de bains, je te laisse un quart d'heure de liberté.
Je me dirige vers l'escalier, avec les genoux entravés, il va me falloir cinq minutes pour accéder à l'étage. J'entends la voix d'Anna tout à coup :
- Enlèves ta robe et lance la moi
Je m'exécute, et me retrouve uniquement avec mes dessous.
- Montres-toi en haut de l'escalier.
J'obéis et me place en haut des marches.
- Tournes toi un peu que je te vois bien. Bien, vas à la salle de bains maintenant, et ensuite tu iras à la grande chambre du fond.
Je m'empresse d'aller à la salle de bains, et cinq minutes plus tard, je suis à la chambre au pied d'un des lits, attendant ma maitresse. Anna vient un moment plus tard.
- Donnes moi tes poignets.
Anna repose les bracelets et les cadenas et fait de même aux chevilles, ensuite elle m'enfile une cagoule ouverte aux narines et à la bouche. Je suis entièrement aveuglé, une fois lacée, elle boucle le collier et pose aussi un cadenas.
- Allonges toi sur le lit.
A tâtons, je m'allonge sur le lit, elle me guide pour me mettre au milieu, c'est un lit métallique de 0,90 m de large. Les cordes entrent en action et quelques instants plus tard ,je suis entièrement entravé y compris ma tête par l'anneau supérieur de la cagoule. Un bâillon anneau vient compléter l'ensemble.
- Bon, c'est bien comme ça, à demain.
J'entends Anna refermer la porte et m'abandonner pour la nuit.
Mercredi
Enfin du bruit, je suis réveillé depuis un moment et attends le bon vouloir de ma maitresse. Elle ouvre la porte, monte sur le lit, venant s'asseoir sur moi. Elle me caresse autant que faire se peut, autour de mon corset, s'attarde sur mes cuisses et mon bas ventre. Je réagis et elle s'en aperçoit, faisant glisser lentement ma vaste culotte vers le bas. Mon sexe dégagé, elle s'en empare, je deviens l'espace de quelques instants un objet dont elle joue à son gré.
Sans un mot elle me laisse un moment plus tard, je l'entends dans la salle de bains. Elle ne reviendra me détacher que longtemps après, me permettant à mon tour de faire mes ablutions partielles car toujours entravé. Je la rejoins dans la cuisine, après m'avoir permis de déjeuner, elle me passe un tablier et me confie les taches ménagères pendant qu'elle sort de son coté.
Elle ne reviendra qu'en fin d'après-midi, me libérant cette fois de mes entraves aux genoux, mais me laissant toujours avec mon corset et mes bas. J'ai droit à quelques minutes de répit, elle m'annonce la visite d'Amanda vers 19h00.
Vers 18h, elle décide de me préparer, elle me fait enfiler de longs gants de latex, puis, sur mes dessous une robe de latex noire, très courte, à manches longues. Elle la ferme, c'est ensuite les escarpins à hauts talons et pour terminer la cagoule assortie. Celle-ci n'a d'ouverture que les yeux et les narines, un petit gode incorporé me bâillonne et elle se ferme par un collier de caoutchouc bloqué par un cadenas. Une large ceinture de cuir dotée d'anneaux complète l'ensemble.
Ainsi équipé, elle me conduit sur le perron de la maison, me faisant m'arrêter sur la terrasse. Deux paires de menottes m'immobilisent, une corde lui sert à m'attacher par la ceinture contre l'un des piliers de l'entrée.
-Tu verras, Amanda sera satisfaite de te voir de loin.
Anna repart à l'intérieur, et ferme la porte. Je vais rester ainsi une demi-heure avant d'apercevoir la voiture d'Amanda s'arrêter devant le portail. Elle descend, vêtue d'un ensemble moulant noir. Anna qui l'a entendue sort sur le perron. Elles s'embrassent toutes les deux, et entrent refermant la porte. Amanda n'a jeté qu'un coup d'œil en passant sur moi, comme si je n'étais qu'un objet sur le perron.
La nuit est tombée, elles sortent de la maison, Anna s'est habillée de noir comme Amanda, sans un mot, après avoir fermé la porte à clé et tout éteint, elles se dirigent vers la voiture, montent et démarrent, me laissant dans ma situation. Ou sont-elles parties ? Vraisemblablement manger au restaurant.
Contrairement à mes hypothèses, elles reviennent environ une demi heure plus tard, riant toutes les deux. Elles sortent de la voiture un grand sac plastique. Que contient-il ? Mystère, elles le portent à l'intérieur de la maison. Anna vient sur la terrasse et me détache. Elles décident de s'occuper de moi, elles m'ôtent tout mon équipement, puis me mettent nu.
- Allez, tu as cinq minutes à la salle de bains.
Je m'exécute sachant que les cinq minutes allaient passer vite.
Je sors dans le couloir, Anna me prend par le bras, et m'entraine vers la chambre du fond.
Je suis conduit près du petit lit. Se mettant une de chaque coté de moi, elles sortent du sac quelque chose qu'elles déplient. Cela ressemble à un sac de forte toile gris foncé. Elles le positionnent devant moi et me font entrer dedans, une jambe après l'autre. Elles le déploient, il s'ajuste parfaitement à mon corps, l'épousant en totalité. Avant de me couvrir le tête, Anna me mets un bandeau sur les yeux qui m'aveugle.
Il n'y a qu'une ouverture au niveau de la bouche. L'ouverture du dos, par laquelle je suis entré, permet l'ajustement et la fermeture, des brides avec des anneaux sont réparties sur les cotés, ainsi qu'au niveau de la tête. Une fois bien positionné dans le sac, les bras le long du corps, des s a n g les intérieures leurs permettent de m'attacher dans le sac. Un quart d'heure plus tard, je suis prisonnier de celui-ci. Commence alors le laçage qui est effectué minutieusement, collant le sac totalement sur mon corps. Au passage, elles m'ont peloté plusieurs fois les fesses. J'entends Anna dire:
- C'est super, tu as merveilleusement travaillé pour faire quelque chose d'aussi ajusté.
Amanda lui réponds :
- Je suis d'autant plus satisfaite que cette toile est épaisse et opaque, on va d'abord le mettre sur le lit.
Je sens qu'elles me font me tourner et d'un coup basculer sur le lit, me tirant ensuite pour me mettre à plat ventre.
- Les anneaux de chaque coté, vont servir à le suspendre. Passe de l'autre coté et prends des cordes. Regardes, il y a une petite ouverture possible ici avec la fermeture éclair.
Je sens qu'elles s'activent, je comprends à ce moment là qu'elles m'attachent à la poutre se trouvant juste au dessus du lit, la chambre étant mansardée. Les cordes se tendent, reliant les anneaux à la poutre.
- Voilà c'est parfait dit Amanda, on va maintenant faire glisser le lit pour le dégager.
Je sens le lit partir d'un coup sur ses roulettes, et me retrouve suspendu dans le vide attaché à la poutre. Mon corps balance quelques instants.
- On va le laisser comme ça dit Anna, allons au restaurant
J'ai tout à coup l'impression d'entendre du bruit, quelle heure est-il ? Je me suis endormi, je n'en ai aucune idée, un nouveau bruit me fait comprendre qu'Anna est entrée dans la chambre, elle tire sur les cordes, ses mains caressent le sac, puis s'activent par dessous sur mon ventre, je comprends qu'elle ouvre la fermeture et sort mon sexe. En quelques instants, je suis bien réveillé et tendu au maximum. Des pincements, elle vient de mettre deux pinces sur mes bourses, d'autres suivent aussitôt. En quelques instants, elle en pose une bonne dizaine, je ne peux retenir un cri ce qui me vaut immédiatement la pose du bâillon anneau.
- On est un petit douillet, tu vas les garder cette nuit, puisque c'est comme ça.
J'entends Anna partir, la porte se ferme, je suis seul, complètement isolé dans mon carcan. Je finis par m'endormir.
Jeudi
Ce qui me réveille c'est de sentir le retrait des pinces, une à une, à chaque retrait je grimace, mes plaintes sont étouffées par le bâillon.
- Alors, on a bien dormi ?
Anna s'active sur ma verge encore endolorie. Ses mains sont gantées de caoutchouc, à chaque fois qu'elle sent que je ne vais plus résister, elle arrête son action, et la reprend un peu plus tard, c'est diabolique et frustrant. Elle finit par s'arrêter.
- Bon assez joué, il est 7h30, je vais être en retard pour les visites, mais avant, je vais te purger, tu dois en avoir besoin !
Je sens ses mains gantées qui introduisent ma verge dans un récipient.
- Allez vides-toi, cela évitera des problèmes.
Je me libère dans son récipient longuement, cela faisait un moment que j'avais envie, me demandant si j'allais me retenir longtemps. Une fois terminé, elle referme l'ouverture du sac.
- Je m'en vais, à plus tard.
La porte se referme, elle n'a donc pas l'intention de me détacher, et cela peut durer un certain temps !!!
Effectivement, le clocher a sonné midi lorsque j'entends la porte s'ouvrir. Le lit roule et me touche, Anna essaye de le remettre sous moi, une poussée plus forte et je me retrouve à nouveau à plat ventre sur le lit.
- Je vais te libérer progressivement.
Elle commence par défaire le laçage de ma tête jusqu'au milieu du dos, cela lui permet d'écarter les bords du sac et de dégager ma tête de celui-ci après m'avoir ôté le bâillon. Elle me laisse quelques secondes ainsi, puis m'ôte le bandeau. Répit de quelques instants car elle m'enfile à nouveau une cagoule de cuir qu'elle ajuste et entreprend de fermer. Une fois lacée elle y place deux petits cadenas qui la condamnent. Anna continue alors de me libérer du sac et m'en fait sortir entièrement, me prenant par la main, elle m'aide à me lever et me pousse hors de la chambre.
- Je te laisse un quart d'heure.
Un sandwich est posé sur le bord du lavabo ainsi qu'une serviette, je me précipite et mange de bon appétit. Je comprends aussi que j'aurais droit à un autre traitement à la sortie.
Je finis de m'essuyer lorsque la porte s'ouvre, Anna s'empare de la serviette et me dit:
- Allez, sors de là, retourne dans la chambre.
J'obéis et retourne dans la chambre, Anna me suit, elle m'équipe les poignets avec les bracelets de cuir, puis prend une corde la passe au-dessus d'une poutre et dans l'anneau du poignet gauche, tire montant mon bras au niveau de la tête, elle attache l'autre extrémité à ma cheville gauche. Avec une autre corde, elle fait pareil du coté droit.
Quelques instants plus tard, je suis entièrement écartelé , Anna replace alors le bandeau sur mes yeux et le bâillon anneau. Une dernière corde relie l'anneau supérieur de la cagoule aussi à la poutre.
- Bon, cela devrait aller.
J'entends Anna aller et venir pendant quelques instants, puis tout à coup le bruit d'un vaporisateur et je sens sur ma poitrine quelque chose de froid, je comprends aussitôt que c'est de la mousse, la main gantée d'Anna l'étale méthodiquement, puis le glissement du rasoir se fait sentir, elle a entrepris de me raser le corps.
- Les poils ne sont pas beaux sous tes dessous, aussi je vais arranger ça.
Elle agit méthodiquement, après le torse, c'est au tour des bras, puis des jambes, aucun endroit n'est épargné, elle a gardé mon ventre pour la fin. Le rasoir glisse partout, ne négligeant aucun endroit. Je suis en érection, elle rit.
- Je vais te rincer et calmer le feu du rasoir.
Elle me lave entièrement, usant d'un gant de toilette et m'essuie, puis me passe sur tout le corps une crème rafraichissante, terminant par le sexe, ce qui me laisse très tendu.
- Tu es parfaitement lisse maintenant.
Ses mains toujours gantées parcourent mon corps, évitant mon sexe toujours vertical.
- Je vais te rhabiller, cela devrait être plus sexy.
Elle me détache les bras, puis me remet le corset et le lace minutieusement. Je suis toujours relié à la poutre par ma cagoule ce qui m'oblige à ne pas bouger. Anna m'enfile alors un string de cuir, noué sur chaque cuisse, puis des bas aussitôt reliés par les jarretelles au corset, enfin les chaussures à talons qu'elle boucle à leur tour. Une robe complète ma tenue, c'est une sorte de fourreau fermé de haut en bas par un laçage dans le dos qui le colle au corps et le maintien sur moi. Pour terminer, les bracelets de mes poignets sont liés ensemble dans mon dos par un cadenas.
- Tu es beaucoup mieux, dit-elle en passant ses mains sur mes jambes, je te détache et tu vas me suivre.
Elle me fait descendre au rez de chaussée, et libère alors ma tête. Je me vois devant la glace ainsi habillé. La robe noire m'arrive à mi-mollets. Anna revient alors avec une cagoule de latex, celle-ci n'a que deux trous au niveau des narines, elle a aussi un masque complet en latex représentant un visage de femme, une perruque et un bâillon gode.
- Comme ça, tu ressembleras vraiment à une fille manga.
Elle me pose des écouteurs intra-auriculaires dans les oreilles, reliés à un petit boitier plat qu'elle coince, dans mon dos, sous le corset. Une musique relaxante est diffusée par ceux-ci me coupant du monde extérieur. Anna me pose le bâillon qu'elle attache fermement, m'enfile la cagoule qui colle à ma peau et m'aveugle totalement, puis je sens la pose du masque et de la perruque. Elle ajuste l'ensemble et me pose un large collier.
Nous sortons, quelques instant plus tard je suis installé dans la voiture; elle boucle la ceinture autour de moi. Ou allons-nous ? Anna démarre et roule un long moment. Je sens que la voiture s'arrête, j'essaye de me concentrer mais la musique est efficace et il m'est absolument impossible de me repérer. Je sens qu'on me prend par le bras, je descends craignant de tomber. Je me laisse guider, et fais quelques pas. Je manque de trébucher, mais on me retient. Nous entrons me semble-t-il dans un bâtiment. On me lâche, je n'ose bouger, attendant la suite. Rien ne se passe pendant un moment, la musique diffusée dans mes oreilles m'empêche de capter tout autre bruit.
A nouveau, une main prend mon bras et m'entraine, je sens que l'on place des bracelets autour de mes poignets, les menottes sont enlevées mais aussitôt mes bras sont tirés vers le haut et écartés. C'est ensuite au tour de mes chevilles, elles sont elles aussi équipées de bracelets et maintenues écartées par une barre rigide. J'essaye de bouger, mais impossible de faire quoi que ce soit, je suis écartelé maintenu au plafond et au sol. Quelques minutes plus tard, on m'enlève la robe, et on resserre mon corset. Deux mains parcourent mon corps minutieusement, ma verge me fait mal bloquée par le string, je sursaute, mes tétons sont tordus. Ou suis-je donc et qui se trouve autour de moi ?
Les mains continuent leurs actions, le string m'est enlevé et ma verge prise en main, c'est au tour de mes fesses d'être palpées, une main se positionne près de mon orifice anal et tout à coup un objet est présenté. Lentement mais fermement, il est introduit en moi. Après quelques mouvements, il est entièrement enfoncé, le plug butte contre mes fesses. Aussitôt, je sens qu'on le fixe profondément en moi, il est pourvu de lanières qui sont reliées aux anneaux du corset de part et d'autre de ma verge et dans le dos. Tout à coup une vibration me fait sursauter, le plug est activé, une main place le boitier de commande dans mon dos à coté de celui de mes écouteurs.
Des mains s'intéressent alors à mes bourses, après être tirées vers le bas, je sens un lien s'enrouler à leur base. Plusieurs tours sont ainsi faits, les faisant gonfler. Je sens alors qu'elles sont tirées vers le bas, le lien a, me semble-t-il, été attaché à la barre qui relie mes deux chevilles. Enfin la robe m'est remise et rattachée.
Plus personne n'a l'air de s'occuper de moi, je reste longtemps ainsi, le plug se manifestant de temps en temps avec plus ou moins d'activité.
Enfin un contact sur mes fesses, quelqu'un est là, on détache la barre qui relie mes chevilles et on la désolidarise de mes bourses. Ensuite ce sont mes poignets qui sont détachés mais aussitôt ramenés dans mon dos et menottés.
On me soutient par les bras de chaque coté, il y a au moins deux personnes dans la pièce. Je dois marcher quelques instants, seules mes chaussures me permettent de comprendre que nous sommes sortis du bâtiment, le sol est irrégulier, puis on me fait me pencher, je comprends alors que je suis près d'un véhicule dans lequel je suis installé et s a n g lé.
Quelques instants plus tard, ce dernier est en mouvement. Nous roulons un long moment avant que celui-ci ne s'arrête, je dois descendre guidé seulement cette fois par une seule personne. A nouveau je pénètre quelque part. Des mains dans mon dos arrêtent alors la musique me permettant de retrouver l'ouïe. La voix d'Anna me parvient alors.
- Alors as-tu apprécié ce petit séjour ? Nous sommes rentrés chez toi, il est 19h. Je vais te laisser quelques instants, essayes de savoir ou tu étais cet après-midi. J'ai quelques coups de téléphone à donner.
Il m'est impossible de savoir ou j'étais, aucun repère ne m'a permis de me repérer. Anna revient quelques instants plus tard.
- Je vais te laisser un moment pour aller à la salle de bains et je vais te donner à manger ensuite je te préparerai pour la soirée.
Elle me conduit à la salle de bains et me détache.
-
Enlèves tout, et prends ta douche, je t'ai laissé de quoi manger sur la tablette. Je reviens dans une demi heure. Alors, sais-tu ou je t'ai amené ?
-
Non maitresse dois-je avouer.
-
Je t'ai amené à mon cabinet, mon associée a particulièrement apprécié, puisque c'est comme ça, je vais te soumettre à de nouvelles contraintes. A partir de cet instant il t'es interdit de dire le moindre mot sous peine de punition.
Nu et essuyé, elle me conduit à la chambre. Elle pose sur le lit un gros rouleau de film étirable et plusieurs rouleaux d'adhésif. Après m'avoir remis les bracelets de cuir, elle relie avec de courtes chaines les anneaux, une chaine passant devant moi et l'autre dans mon dos, ce qui fait que je ne peux rapprocher mes bras l'un vers l'autre.
- Mets toi près du lit et enfiles cette culotte de plastique.
Elle s'affaire alors autour de mon sexe, découpe le plastique, prends ma verge et la glisse dans quelque chose, une sorte de tube souple, puis elle referme le tout avec de l'adhésif bien hermétiquement.
Aussitôt elle commence à m'envelopper des épaules aux pieds, faisant plusieurs tours en superposant le film. Elle me fait asseoir sur le bord du lit et termine l'enveloppement de mes pieds. Prenant ensuite un premier rouleau d'adhésif, elle commence à lier mes pieds, puis les chevilles et remonte ainsi en faisant des anneaux espacés de cinq centimètres environ l'un de l'autre. Une fois terminé, elle repart et revient portant de grands sacs que l'on utilise pour mettre les déchets de jardin. Je dois mettre mes jambes dans l'un d'entre eux, elle le remonte et le fixe au niveau de ma taille, puis elle prend un deuxième, fait une ouverture dans le fond et me l'enfile sur le corps, faisant passer ma tête dans l'ouverture. Elle le relie au premier avec de l'adhésif. Anna reprend alors les rouleaux d'adhésif et cette fois m'emballe entièrement en commençant par les pieds, s'assurant bien que les bandes se recouvrent entièrement.
Un moment plus tard, je suis immobilisé, seule ma tête est encore libre. Elle va chercher une cagoule de latex percée seulement au niveau du nez et de la bouche, et dont le bas peut se cadenasser autour du cou. Elle me l'enfile, la ferme soigneusement et pose un petit cadenas. Je sens qu'elle termine l'enveloppement avec l'adhésif. Elle me bascule alors sur le lit, me positionne et serre autour de moi des s a n g les.
- Comme ça tu ne tomberas pas. Je te laisse, on m'attends pour la soirée. Au fait, je ne reviendrai que demain, je fais un remplacement à l'hôpital. J'ai branché ton sexe dans un tuyau, tu pourras uriner facilement. Mais pourquoi te donnerais-je des explications, tu n'es qu'un objet à ma disposition après tout.
C'est ainsi que commence un long abandon. Je ne mesure pas à cet instant qu'il va être même très long !!! Je finis par m'endormir.
Vendredi
Lorsque je me réveille, il m'est impossible de me repérer, quelle heure peut-il être ? Je n'entends aucun bruit, Anna est-elle là ? La seule certitude que j'ai est d'avoir bien dormi. J'attends le bon vouloir de ma maitresse. A plusieurs reprises, le téléphone sonne dans la maison. Je pense que plusieurs heures s'écoulent ainsi, je me soulage à deux reprises, je comprends pourquoi elle m'a " branché " un tuyau.
Enfin du bruit, est-ce Anna qui revient ? J'ai faim depuis longtemps quelle heure est-il ?
- Alors tu es toujours là ? J'ai failli t'oublier, ma collègue souhaite que je parte en week end avec elle. J'ai hésité, mais finalement j'ai accepté. Au fait, il est 18 heures, je vais te faire manger un peu, ou plutôt boire, ce sera plus simple ensuite j'irai la rejoindre, elle m'attend. J'appellerai Aline demain pour lui dire que tu es rentré.
Anna libère simplement le bas de mon visage et s'occupe de me nourrir. Elle me fait boire un bouillon lentement.
- Bon, tu pourras tenir comme ça jusqu'à demain
Je l'entend s'activer autour de moi, elle referme la cagoule et un bruit métallique me fait comprendre qu'elle a ressorti le carton contenant les chaines.
- Finalement, je vais reconstituer la cage de chaines dans laquelle je t'ai trouvé... Ce sera plus rigolo pour Aline.
Elle commence par m'enchainer des pieds à la tête, elle s'active, veillant à ce que les chaines m'enveloppent bien et soient bien tendues. Les nombreux " clics " des cadenas me font comprendre que les chaines sont reliées minutieusement les unes aux autres.
- J'ai ramené de nouveaux cadenas, comme cela, je n'ai pas eu à utiliser les maillons. Bon te voilà bien prisonnier, cela comblera tes fantasmes, deux jours et deux nuits entièrement attaché, c'est le top. Je vais partir, j'appellerai Aline demain, et lui dirai ou tu es. Cela lui laissera le plaisir de venir te libérer. Je laisse la clé de la cagoule bien en évidence, j'espère qu'elle la verra !!!
Anna s'en va en riant, qu'a-t-elle fait pour rire ainsi ? Je n'en ai aucune idée. Me voilà seul, pour au moins 24 heures, Aline travaille jusqu'à 18h le samedi, dans le meilleur des cas elle n'arrivera pas avant 19h.
Samedi
Dire comment j'ai passé la nuit qui suit et toutes ces heures de la journée du samedi est compliqué, j'ai dormi souvent et aussi essayé de bouger, mais en vain. Pourvu qu'Aline vienne !!!
Enfin du bruit, quelqu'un entre dans la maison.
- Ou es-tu ? Je viens te voir, Anna m'a appelée vers 17h me disant que tu étais rentré hier et que j'aurais une surprise.
Aline finit par entrer dans la chambre et je l'entend aussitôt s'exclamer.
- Mais c'est super, tu es emballé parfaitement, vraisemblablement depuis hier d'après ce que j'ai compris ? Ah oui, tu ne dois pas parler, c'est interdit.
Aline vient s'asseoir près de moi et commence à me toucher, tirant sur les chaines, s'assurant de leur efficacité. Elle passe ensuite ses mains sur mon visage, bloquant par moments ma respiration. Je l'entends rire tout à coup.
- Je viens de prendre connaissance de la lettre laissée par Anna, me racontant ta semaine. Elle est surprenante, jamais je me serais doutée de ce qu'elle a fait de toi. Elle est plus forte que moi dans ce domaine. J'ai deux nouvelles à t'annoncer, j'espère que tu vas apprécier... La première est que je n'ai pas les clés des cadenas, elles sont chez Anna, donc je devrais aller les chercher pour te libérer. La deuxième c'est que je suis, moi aussi, invitée, donc je vais te donner à manger comme elle l'a fait hier et que je reviendrai demain pour te libérer.
Mireille me nourrit et me fait boire, heureusement tout est liquide ou presque ce qui m'ôte toute envie de me soulager. Je l'entend s'activer, elle retire les s a n g les me maintenant sur le lit et entreprend de me retourner face au sommier. Quelques instants plus tard , utilisant des cordes, elle relie mes chaines du cou aux chevilles à la poutre dominant le lit. Tendant les cordes les unes après les autres, je suis soulevé et suspendu à quelques centimètres du sommier. Seule ma tête est libre et penche en avant. Cela ne dure pas, quelques tours de cordes et elle est fixée à l'horizontale. Elle déplace ensuite le lit sur le bord de la chambre.
- Te voilà mieux ainsi, tu peux te balancer si tu veux.
Elle me pousse sur le coté et me voilà en mouvement. Je sens qu'elle positionne le tuyau relié à ma verge.
- Comme ça cela va directement dans le récipient. Encore deux petites choses.
Que va-t-elle faire encore ? Tout à coup, elle pousse dans ma bouche le bâillon anneau et le fixe solidement derrière ma tête avant de refermer le bas de la cagoule.
Je sais que tu vas aimer, Anna a été gentille avec toi en ne te le mettant pas, mais moi, il faut bien que j'apporte un petit plus. Maintenant il reste un trou à boucher.
Aline s'appuie sur mes fesses, perce le plastique et m'enfonce un plug de bonne taille au plus profond de moi. Quelques tours d'adhésif et celui-ci est fixé fermement, me remplissant entièrement.
- Bon, assez joué, ce n'est pas tout, je dois y aller, sinon je vais être en retard et je ne voudrais pas me faire punir à mon tour... Passes une bonne soirée, une bonne nuit, et à demain.
Je l'entend rire, et partir.
Me voici reparti pour une longue, très longue séance.
Dimanche
Enfin du bruit, je réalise à ce moment là tout ce que j'ai enduré depuis vendredi soir.
- Alors tu es toujours là ?
La voix d'Aline résonne dans mes oreilles, ses mains me poussent et me font me balancer.
- Je vais te libérer de ta position, tu risques d'être un peu ankylosé. Enfin on verra bien, c'est toi qui l'a cherché non ? Depuis jeudi soir, ce n'est pas mal. Tu deviens patient.
Commence alors ma libération, progressivement je retrouve l'usage de mes membres. J'ai toujours la cagoule fermée sur la tête. Aline me fais me lever. Mes jambes tremblent un peu avant que je ne me stabilise. Je suis nu, seule ma verge est branchée et mon anus occupé par le plug.
Bon ce n'est pas mal dit Aline, je vais te laisser finir tout seul, la clé de la cagoule est à la salle de bains, tu la trouveras tout seul, ce sera là ta dernière punition de la semaine. Bonne soirée et à un de ces prochains jours.
J'entends Aline partir, lentement j'essaye de me repérer et gagne la salle de bains. Trouver la clé de la cagoule va me demander encore des efforts. Finalement je la trouve, à tâtons, cachée derrière la cuvette des WC. Cette dernière recherche m'aura demandé au moins une heure d'efforts.
Libre de tout, je passe sous la douche. Demain le travail reprend et va me conduire à Rome pendant quinze jours.
Alain
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